Xerox reboise la forêt

0 commentaires

Xerox lance « Responsible printing doesn’t cost the Earth », une nouvelle campagne publicitaire d’actions en faveur de l’environnement, doublée d’un partenariat avec l’organisation The Nature Conservancy. Jusqu’au 31 décembre 2008, 75 % de remise sur l’option d’impression recto verso sera proposée pour l’achat d’une imprimante à encre solide Phaser 8560. Cette offre inclut le logiciel GreenPrint et une rame de papier recyclé Xerox. Pour chaque logiciel GreenPrint téléchargé, Xerox financera la plantation de 50 arbres dans la forêt atlantique du Brésil, l’une des plus menacées au monde. La campagne de reboisement ‘Plant a Billion Trees’ de The Nature Conservancy se déroule en partenariat avec l’opération ‘Plant for the Planet: Billion Tree’ de l’UNEP, le Programme des Nations Unies pour l’environnement.
« Cette campagne s’inscrit dans le prolongement des relations que nous entretenons avec The Nature Conservancy depuis novembre 2006 », précise Rogerio Fangueiro, Vice-président et Directeur Général Office Group chez Xerox Europe. « Dans le cadre de ce partenariat, Xerox a investi 1 million de dollars, sur trois ans, afin de renforcer et de développer les pratiques permettant de préserver les forêts du monde. Pour vous donner un ordre d’idée, l’achat d’une imprimante Phaser 8560 avec GreenPrint permettra de reboiser l’équivalent de 2,5 courts de tennis ».

Deux scanners pro A3

0 commentaires

Faire migrer l'information papier vers des processus électroniques productifs, c’est l’un des atouts que fait valoir Fujitsu lorsqu’il parle de la nouvelle version de son iScanner fi-6010N. Ce périphérique est destiné à réaliser des tâches bureautiques classiques : capture des documents papier vers des fichiers, référentiels d’entreprises, workflows ou archives, transmission des données par e-mail ou fax, stockage dans un fichier partagé ou encore envoi vers une imprimante. Le fi-6010N (3000 euros HT) permet aussi d’intégrer ces documents dans des systèmes de gestion de contenu d'entreprise (ECM) en se basant sur un kit de développement logiciel fourni avec le scanner. Côté caractéristiques techniques, ce scanner couleur A3, équipé d'un écran tactile de 8,4 pouces et d’un clavier, atteint les 25 ppm au format A4 à 200 dpi. Il offre une résolution optique réelle de 600 dpi, un dispositif d'alimentation automatique de 50 feuilles et des sondes de balayage dual-CCD pour numériser uniformément.
Epson mise quant à lui sur son GT-20000 pour s’imposer dans les environnements de travail qui nécessitent une forte productivité. Ce scanner A3 couleur pousse la résolution de sortie jusqu’à 9600 dpi et numérise à la cadence de 23 ppm, à plat ou en recto verso. Le GT-20000 (2550 euros HT en version réseau) est doté de fonctionnalités avancées de gestion de document telles que la suppression des couleurs, l’amélioration du texte, le multi-PDF à partir d’un document unique, le PDF sécurisé, l’ajustement automatique de la page, la segmentation automatique des zones et la détection automatique du format.

La photocopie, une dame respectable de 70 ans

0 commentaires

La première photocopie de document a vu le jour le 22 octobre 1938 dans un laboratoire de fortune aménagé derrière un salon de beauté d’Astoria, dans le Queens à New York. Un résultat obtenu par Chester Carlson qui s’intéressait à l’époque à l’électricité statique et aux matériaux photoconducteurs plus qu’aux méthodes de la photographie, suivant ainsi les traces du physicien français Jean-Jacques Trillat qui comprit le principe générale de l’électrophographie dès 1935. Le procédé mis au point par l’américain fut nommé xérographie, à partir des deux racines grecques xeros (sec) et graphein (écrire). Il fallu encore vingt années et le pari d’une petite entreprise des quartiers nord de New York pour que ce procédé soit commercialisé. Il s’agissait de la société Haloid, qui prit en 1961 le nom de Xerox. De son vivant, Chester Carlson n’aurait jamais pensé que la photocopie allait être reconnue comme une véritable révolution. Le cabinet Infotrends estime que les produits issus de la xérographie ont généré cette année 3,08 trillions de copies et d’impressions dans le monde.

Au sommaire du #25

0 commentaires

Printnews#25 (octobre 2008) est en cours de diffusion. Au sommaire de ce numéro :

Organisation
Verts et durables
Plus respectueux de l’environnement et plus économiques, de nouveaux toners, cartouches d’encre et papiers viennent grossir les catalogues des constructeurs. Mais ces produits sont-ils vraiment écologiques ? Lire la suite...

Interview
Le rôle de l’impression sécurisée dans la stratégie de sécurité de l’entreprise
François Guestault, Consultant Solutions d’Impression chez HP France, livre son analyse des nouveaux enjeux de la sécurité et de l’impression. Lire la suite...

Nouvelles solutions HP pour les PME

0 commentaires


Les petites structures sont un gisement de croissance qui semble inépuisable. HP s’est positionné très tôt sur ce segment et revendique aujourd’hui près de 40 % des imprimantes et copieurs installés dans les PME françaises. Face à une concurrence tonique, le constructeur américain renouvelle régulièrement son offre et vient de lancer les deux multifonctions couleur CM2320 et CM3530. Le MFP CM2320 (543 euros HT) offre les 3 fonctions copie, numérisation et photocopie aux TPE constituées de 1 à 10 utilisateurs. Ce modèle compact A4 imprime à la cadence de 20 ppm, dispose d’un panneau LCD de commande et d’un bac de 250 feuilles. Le MFP CM3530 (2300 euros HT) s’apparente quant à lui à un copieur pour les grandes entreprises mais adapté aux particularités des PME et des groupes de travail de 10 personnes. Ce modèle 30 ppm intègre la première imprimante multifonction HP Color LaserJet au format légal de bureau dans un design à faible encombrement. Equipé pour une intégration en environnement réseau, ce multifonction se distingue par ses caractéristiques de gestion de documents. Il est fourni avec le toner amélioré HP ColorSphere, bénéficie d’un mode recto verso automatique, possède un disque dur de 80 Go et une capacité papier pouvant atteindre 850 feuilles. Une offre de coût à la page est disponible sur ce modèle. Parallèlement à cette annonce, HP propose le Scanjet N9120 (4000 euros HT), un scanner à plat A3 conçu pour un usage départemental. Celui-ci numérise de 50 à 100 ipm et dispose d’un chargeur automatique de 200 pages assurant un traitement de 5000 pages par jour.

Comment maintenir ses investissements marketing en période de récession

0 commentaires


La dernière étude « Marketing Success » réalisée par le cabinet Coleman Parkes pour Xerox remet en perspective certains enjeux de la crise. Manuel Auguste-Dormeuil, directeur de programmes marketing pour Xerox Global Services France, commente les résultats de cette étude en répondant à nos questions.

Comment les équipes marketing évaluent-elles la réussite des campagnes online ?
On voit bien d’après cette étude que les équipes marketing ont du mal à mesurer les retours de leurs campagnes on-line L’étude souligne en effet que 44 % des directeurs marketing pâtissent d’un manque de compréhension des médias on-line. 37% d’entre eux estiment par ailleurs que les systèmes de mesure sont inefficaces, les empêchant de justifier et de bénéficier d’investissements supplémentaires dans ce domaine. Cependant, la plupart des entreprises utilisent des solutions d’optimisation et de « web-analytics » pour mesurer l’impact de leurs campagnes on-line. Combinés avec les segmentations réalisées à partir des données socio-économiques à leur disposition, ces éléments relatifs aux comportements des visiteurs leur permettent de définir des profils de comportement par population. Pour chaque profil, il est possible de déterminer le retour sur investissements en termes de lecture des pages - et, plus rarement, en fonction du chiffre d’affaires réalisé - et de prendre en compte les retours pour les prochaines campagnes.

Comment les directions marketing valorisent-elles le ROI de leurs campagnes auprès des directions financières ?
Les directions marketing peinent à démontrer le ROI de leurs campagnes auprès des directions financières. En effet, d’après l‘étude, les deux tiers des directeurs financiers et marketing s’accordent à dire que de meilleures communications sur l’impact du marketing donneraient plus d’importance au service marketing au sein de l’entreprise, et conduiraient à augmenter ce budget. Cet état de fait est essentiellement dû à deux raisons : le marketing a des difficultés à étalonner ses campagnes en fonction des objectifs stratégiques de l’entreprise, car d’une part il n’a pas les outils adéquats et d’autre part ne parle pas le même langage que les financiers. En effet, aujourd’hui, la plupart des directions marketing des grandes entreprises ont tendance à mesurer l‘impact des campagnes de façon unitaire et le font plutôt en termes de pages lues ou de clics réalisés de façon non intégrée, en utilisant des outils de reporting tels que Excel.

Comment défendre ses budgets marketing auprès des directions financières en période de crise ?
Dans ce domaine-là aussi, les directeurs marketing ont des progrès à réaliser. Il est clair que, s’ils arrivaient réellement à démontrer le retour sur investissement de chaque campagne et, en particulier, le chiffre d’affaires généré par chacune d’elles, tout en intégrant la multiplicité des canaux de communication, les budgets alloués pourraient au moins être stabilisés en temps de crise. Les directeurs marketings sont 66 % à penser qu’une approche marketing de bout en bout, combinant communications en ligne et hors ligne, leur permettrait de bénéficier d’une meilleure capacité d’évaluation de l’efficacité marketing. Afin de préserver leur budget marketing, les entreprises doivent donc se doter d’outils d’évaluation plus sophistiqués, permettant de présenter efficacement les informations adéquates au conseil d’administration.

Konica Minolta cible les TPE

2 commentaires



Konica Minolta commercialise les Magic Color 4690MF et 4695MF ainsi que le Business hub C20, trois nouveaux multifonctions A4 couvrant les besoins des petites entreprises en combinant impression, copie, fax et scan, le tout en réseau. Module recto verso de série, 24 ppm en couleur et N & B, chargeur automatique de documents d’une capacité de 50 feuilles, gestion du papier pouvant aller jusqu’à 850 feuilles, les derniers nés du constructeur japonais ont tout pour séduire. La qualité de l’impression repose sur l’utilisation de toners Simitri HD, la copie bénéficie d’un mode couleur rapide et le fax exploite la technologie SuperG3 qui autorise envoi et réception simultanés de documents.
" Selon une étude réalisée par GFK en 2007, 80% des petites entreprises de 1 à 10 salariés achètent leur équipement bureautique par le biais de la grande distribution", explique Agnès Chabrier, directrice marketing small office de Konica Minolta Business Solutions France. " Leur comportement s’assimile à celui du particulier alors que leurs besoins diffèrent totalement. Au final, leur choix porte sur des multifonctions plutôt bon marché mais en général sous dimensionnés par rapport à leurs exigences de professionnels. Konica Minolta entend aujourd’hui proposer aux très petites entreprises et aux professions libérales deux offres distinctes : l’une associant qualité professionnelle des équipements et prix attractif et l’autre proposant un accompagnement pour une meilleure maîtrise des coûts par le client. Elles seront distribuées par deux canaux de distribution différents : les revendeurs informatiques et le réseau de vente directe de Konica Minolta "
Le Magicolor 4690MF est disponible auprès du réseau de revendeurs de Konica Minolta au prix de 949 euros HT. Le modèle Magicolor 4695MF sera disponible à la fin du mois d’octobre au prix de 1199 euros HT. Quant au business hub C20, il sera disponible fin octobre auprès du réseau de vente directe et de concessionnaires de Konica Minolta et fera l’objet d’un contrat de service et une facturation à la page. Ces trois solutions se différencient au niveau du contrôleur d'impression Eperon, présent uniquement sur le Magicolor 4695MF et le Business hub C20.

Toshiba vise la 3ème place du marché

0 commentaires


Une gamme de 10 multifonctions couleur bardés de nouveautés, un positionnement sur le segment haut volume, une ambition affichée de grimper sur le podium dès 2010 : Toshiba veut compter dans le monde de l’impression. « Les attentes du marché sont très fortes sur le segment de la couleur, et en pleine évolution. Avec une croissance de l’ordre de 30% par an, nous nous devions de proposer une nouvelle gamme de multifonctions couleur qui réponde à ces attentes », souligne Jean-François Baudrais, vice-président commercial et marketing de Toshiba Tec France Imaging Systems.
Le constructeur japonais met en avant sa volonté d’améliorer les performances économiques et environnementales de ses clients à travers l’offre de gestion de documents de sa nouvelle gamme E-studio pour laquelle plus de 350 brevets ont été déposés. Cette gamme se décline en 10 modèles qui imprime de 11 à 65 ppm avec une grande qualité d’image (résolution jusqu’à 1 200 dpi, traitements d’image avancés et options de finition professionnelle). Ces MFP Toshiba sont dotés d’une interface personnalisée (touche menu améliorée et gestion avancée des profils utilisateurs) et répondent aux normes écologiques en vigueur. La gamme E-studio est commercialisée sous forme d'offres incluant le MFP, les options matérielles, les services et solutions et les consommables, le tout en leasing avec un coût copie défini selon les volumes. Elle comprend 3 modèles d’entrée de gamme (e-studio 281c, 351c et 451c, de 8000 à 14000 euros), 4 modèles de milieu de gamme (e-studio 2330c, 2820c, 3520c et 4520c, de 9000 à 15500 euros) et 3 modèles haut de gamme (e-studio 5520c, 6520c et 6530c, de 23500 à 32500 euros).

Bilan positif pour le Fan 2008

0 commentaires

Le FAN, Forum des Acteurs du Numérique, rencontre annuelle des entreprises avec les professionnels de la gestion de contenu, des flux, de l’éditique et du document numérique, a fermé ses portes le 8 octobre dernier. Les organisateurs ont vu dans cette édition une manifestation en phase avec l’actualité de l’économie numérique et un marché qui a pesé 2,4 milliards d’euros en 2007, en progression de plus de 11% par rapport à 2006. « Les 2 jours du FAN ont permis aux décideurs des secteurs public et privé de participer à un véritable carrefour d’échanges sur les solutions et usages de l’économie numérique à travers trois axes forts : innovation et prospective, tendances et marchés, organisation des entreprises et meilleures pratiques. Dans un environnement dynamique tant du côté des exposants que des visiteurs, cette édition 2008 du FAN a été particulièrement riche en innovations et confirme la pertinence du rapprochement des offres de gestion des process, des flux et du document » ont indiqué Florence Mourre, Directrice du FAN au sein d’E.T.A.I. et Jimmy Barens, Président de l’APROGED.
Plus de 4 000 visiteurs - avec pour l’essentiel des profils de chefs de projets, directions métiers, informatiques, consultants, directions générales - ont visité le salon. Près de 120 exposants ont présenté leurs solutions et quelques 1 855 congressistes ont assisté aux 3 débats stratégiques, 6 conférences thématiques, 5 événements associés et 50 ateliers exposants qui ont ponctué le FAN.

Le document numérique affiche une croissance à 2 chiffres

2 commentaires


Selon une étude réalisée par Serdalab en collaboration avec l’Aproged, le marché français des « Documents et Flux numériques » a pesé de 2,4 milliards d’euros en 2007. Dans un contexte morose, le secteur enregistre tout de même une progression de 11%, inférieure à celle de 2006 (+ 15%), alors que la croissance de l’économie française est restée la même (+ 2,2% de croissance du PIB en 2006 et 2007).
Le marché repose sur plus de 400 acteurs en France. Parmi ceux-ci, les intégrateurs comptent désormais pour 43% du marché contre 38% en 2006, avec plus de 1 milliard d’euros de CA en 2007, en progression de 17%. La part des éditeurs de solutions a baissé. Elle passe de 30 à 24% et compte 567 millions d’euros de CA en 2007, en hausse de 9% par rapport à 2006. Les prestataires de services représentent quant à eux 27% du marché de la Ged, avec un CA atteignant près de 659 millions d’euros, soit une progression de 3,5% en 2007. Le marché des distributeurs de matériels est de 81 millions d’euros, en croissance de 9% en 2007. Représentant seulement 1% du marché, le conseil, dont le CA atteint plus de 29 millions d’euros en 2007, progresse de 12,5% par rapport à 2006. Enfin, l’activité des tiers de confiance, qui représente 2% du marché, enregistre une progression de 17%, avec un chiffre d'affaires de 53,7 millions d’euros.
SerdaLab a identifié et analysé 4 grandes tendances convergentes :
- Le logiciel libre poursuit son ascension. La performance, la pérennité, l’évolutivité et la réduction de coût qu’elles induisent font apparaître les solutions open source comme une réelle menace pour les éditeurs de solutions propriétaires. Aujourd’hui, opter pour de l’open source n’est plus une question d’idéologie, mais de pragmatisme pour les organisations.
- L’offre se verticalise par branche métier. Les éditeurs d’applicatifs métier se rapprochent du monde de la gestion de contenu pour associer des briques d’ECM à leurs solutions, notamment via l’open source.
- Le développement des réseaux sociaux pousse les solutions d’ECM à intégrer des fonctionnalités web 2.0.
- Le mode SaaS (Software as a Service) devrait devenir dans le monde du logiciel un des modèles économiques phares d’ici 2012. Et, selon Gartner, les entreprises utilisatrices devraient le préférer à l’open source en tant que solution permettant de réduire les coûts.

Le palmarès du Fan 2008

0 commentaires

Dans le cadre du FAN 2008, un palmarès a récompensé les meilleures applications du marché. Sur 18 projets présentés, un jury composé de 14 professionnels a récompensé 5 applications sur la base des critères de bénéfice client, créativité, innovation technologique, envergure, réussite commerciale, compétitivité européenne et impact sur le développement durable. Aspheria a remporté le prix « Editique / Documents à la Demande », Knowings celui de « Geide », Etocomm a remporté le prix« Hybride », le Prix « Spécial du Jury » a été attribué à FlandreAteliers, et, enfin, Milpix a remporté le prix « Innovation ».

Xerox décline ses solutions vertes

0 commentaires


Xerox a récemment lancé des papiers certifiés conformes aux normes de gestion durable des forêts ainsi que des ressources et outils web qui aident à réduire l’impact des impressions sur l’environnement. Sa nouvelle gamme comprend des papiers FSC (Forest Stewardship Council), SFI (Sustainable Forestry Initiative) et PEFC (Programme for the Endorsement of Forest Certification). Ces papiers sont désormais identifiés sur les documents marketing et les différents emballages avec une signalétique qui permettra aux clients de choisir le papier le mieux adapté à leurs objectifs de respect de l’environnement ainsi qu’à leurs besoins en matière d’impression.
Le portail Paper and Supplies Sustainability de Xerox propose quant à lui des outils permettant aux clients de choisir un papier en fonction de son impact environnemental. Ces outils comprennent un guide de référence sur les responsabilités environnementales liées au choix du papier et des webcasts d’experts du secteur décrivant les pratiques responsables.

Une solution de location chez Epson

0 commentaires

Epson lance un nouveau programme locatif à destination des TPE et PME/PMI. La solution Print & Save du constructeur japonais porte à la fois sur le matériel et son exploitation quotidienne (approvisionnement des consommables, support technique, maintenance, collecte des cartouches usagées). Print & Save passe par un revendeur Epson qui évalue les besoins d’impression (nombre d’unités, volume mensuel, format, fonctionnalités, etc.) de l’entreprise. Celle-ci se voit proposer un contrat prévoyant la location d’imprimantes Epson, la maintenance Epson sur site, l’approvisionnement des consommables en ligne et leur collecte après usage. A titre d'exemple, un besoin d’impression monochrome pour un petit groupe de travail (4 personnes, 2000 pages par mois) est couvert par un forfait mensuel de 42 euros incluant une imprimante laser réseau Epson, ses consommables et sa maintenance sur site. Selon Epson, les bénéfices d’une telle formule se traduisent pour l’entreprise en termes de maîtrise des coûts, d’économies, de facilité de gestion des consommables et d’assistance.

Xerox muscle son offre PME

0 commentaires


Le Phaser 3300MFP et le WorkCentre 4260MFP sont deux multifonctions A4 que Xerox destine au marché des PME. Le Phaser 3300MFP (530 € HT) est un MFP 4 en 1 couleur d’une vitesse d'impression de 28 ppm. Ce système compact et silencieux dispose d’un mode économie de toner. Il offre également l'impression recto verso et la possibilité de numériser en couleur et en noir et blanc directement vers un e-mail, le réseau ou une clé USB, en s’appuyant sur le protocole LDAP.
Le WorkCentre 4260 (3000 € HT) se caractérise quant à lui par des fonctions en général réservées aux modèles A3. Ce MFP 4 en 1 affiche une vitesse d'impression allant jusqu'à 53 ppm. En outre son magasin peut accueillir 2000 feuilles pour une capacité totale papier de 3100 feuilles. La fonction Print Around s'assure que les autres travaux d'impression se poursuivent sans interruption, et Fax Forward achemine automatiquement les télécopies vers une adresse e-mail.
Le WorkCentre 4260 intègre en standard plusieurs fonctions de sécurité telle que Image Overwrite qui efface les images du disque dur dès que la tâche correspondante est terminée ou encore Secure Print et Secure Fax Receive qui conservent les documents dans le MFP tant que le code permettant de les extraire n'a pas été saisi.
Xerox a par ailleurs étendu sa gamme WorkCentre 5200 avec le WorkCentre 5222. Ces modèles disposent notamment de la technologie EIP qui permet aux éditeurs et aux développeurs de logiciels de créer des applications spécifiques et de personnaliser l'écran tactile. Le WorkCentre 5222 imprime à 22 ppm et offre le choix entre un couvercle pour numérisation à plat et un magasin DADF (introducteur automatique recto-verso). Premier prix de la gamme WorkCentre 5200: 2 670 € HT.

Du RFID UHF de 2ème génération pour Zebra

0 commentaires


Zebra Technologies a intégré l'encodage UHF à ses imprimantes de cartes P330i et P430i. Cette nouvelle option offre une portée de lecture 30 % supérieure à celle des cartes UHF classiques. L’antenne UHF intégrée à la carte garantit une portée de lecture à 6 mètres de distance du capteur, à comparer aux 4,5 mètres de portée délivrée par la plupart des cartes UHF standard. Zebra met en avant les principaux avantages de cette fonctionnalité :
- Amélioration du suivi de véhicules et de flottes pour fournir rapidement des informations précises sur le temps de transport, de latence, d'entrée et de sortie.
- Amélioration du suivi des personnes à l'entrée et à la sortie de lieux hautement sécurisés, tels que les entreprises, les data-centers, les bâtiments officiels et les établissements médicaux.
- Meilleur contrôle des accès et du suivi des visiteurs avec localisation des individus et authentification des accès aux espaces sécurisés.
- Suivi et traçabilité des opérations en cours, utilisation de dispositifs, équipements et ressources réutilisables (tels que tonneaux, caisses et conteneurs) pour rentabiliser les achats d'étiquettes RFID.
- Les commerçants peuvent facilement produire des cartes de fidélité RFID pour améliorer la relation client.
Avec l'option UHF, l'imprimante Zebra P430i peut imprimer et encoder jusqu'à 130 cartes recto en couleur ou 102 cartes recto verso en couleur par heure avec une résolution de 300 dpi. Les deux modèles conviennent notamment aux transpondeurs de types EPC Classe 0, EPC Classe 1 Gen 1, EPC Classe 1 Gen 2, ISO18000-6b et 6-c.
Disponibles en deux formats, ces imprimantes/encodeurs intègrent une mémoire de 4 Mo en standard, un écran LCD 16 caractères et un bac d'alimentation incliné grande capacité. Conçus pour une utilisation avec les cartes Zebra, ces modèles sont également compatibles avec les cartes d'autres fournisseurs de solutions. Encodeur magnétique, encodeur de cartes sans contact Mifare, encodeur de cartes à puce avec contact et connectivité Ethernet 10/100 intégrée sont proposés en option.
Les prix : 3240 € pour la P330i UHF et 3990 € pour la P430i UHF. Les 100 cartes UHF sont quant à elles facturées 440 €.

L’Aculaser C95200CN : une bonne polyvalence

0 commentaires


L’AcuLaser C9200CN d’Epson devrait sans peine tenir le rôle de modèle polyvalent dans les environnements bureautiques. Cette imprimante laser couleur A3+ traite les travaux classiques et créatifs avec une qualité indéniable : 2400 dpi RIT, une technologie mise au point par le constructeur japonais pour adoucir automatiquement les imprécisions des lignes courbes et des diagonales du texte et des images. La cadence d’impression n’est pas en reste avec 26 ppm pour des pages A4 en couleur ou en monochrome. Epson a particulièrement soigné la vitesse sortie de première page, exploitant notamment sa technologie de gestion de la mémoire MIT qui facilite le traitement d’importants volumes d’impression. L’imprimante est d’ailleurs dotée de 256 Mo en standard extensibles à 768 Mo, pour traiter des images lourdes et complexes, et réduire les délais d’impression. En termes de capacité papier, cette imprimante accepte de 350 à 1 850 feuilles, selon les modèles. Enfin, l’AcuLaser C9200N dispose d’un jeu complet d’interfaces, Ethernet 10/100 Base Tx, USB 2.0 Hi-Speed, parallèle en standard (interfaces Type B optionnelles) et d’une grande variété de langages d’impression (PCL6, PCL5C, PDF1.6, ESC/Page et Adobe PostScript 3 en standard). Premier prix : 3 199 € HT.

La facture numérique progresse en entreprise

0 commentaires


La 3ème édition de l’étude de Markess International intitulée « Bénéfices & Gains de la Dématérialisation de Factures » confirme la progression de la dématérialisation des factures au sein des entreprises et des organisations du secteur public. En 2008, elles sont 47% à indiquer dématérialiser tout ou partie de leurs factures entrantes et/ou sortantes. Alors que le secteur privé s’est lancé dans de tels projets depuis quelques années déjà, les organisations publiques s’y investissent aussi désormais. En 2007, 45% des entreprises du secteur privé avaient déjà sauté le pas contre 52% désormais en 2008.
L’avance prise par des secteurs pionniers de la dématérialisation de factures tels que la distribution et certaines industries (automobile, agro-alimentaire, etc.) est également confortée. L’étude révèle aussi la forte montée en puissance d’entreprises opérant sur des secteurs tels que les télécommunications, les services d’utilité publique (eau, gaz, électricité, gestion des déchets, etc.), le transport ou la logistique. Le secteur de la banque/assurance rattrape aussi son retard en la matière. Enfin, la dématérialisation des factures s’étend à toute taille d’organisations, les plus grandes restant largement les plus matures (avec près de 3 entreprises sur 4 de plus de 2 000 employés concernées en 2008, contre 53% en 2007). La dématérialisation progresse parmi les entreprises de taille moindre, avec notamment 38% des PME pour lesquelles elle est effective en 2008, contre 32% en 2008.
Diverses approches sont souvent menées conjointement, la plus aboutie étant la dématérialisation fiscale des factures qui permet aux organisations de se passer totalement aujourd’hui de l’échange et de la conservation de factures au format papier, les factures ainsi dématérialisées étant alors reconnues par l’administration fiscale.
En tête des motivations des organisations à dématérialiser leurs factures, la réduction de divers coûts (traitement, production, archivage, etc.) et la réalisation d’économies financières parfois conséquentes.

Des MFP jet d’encre grand large chez Brother

0 commentaires


Première sur le marché de l’impression, la nouvelle gamme de multifonctions jet d’encre Brother imprime jusqu’au format A3. Parmi les nouveaux modèles, le DCP-6690CW, multifonction 3 en 1 à technologie jet d’encre, imprime, copie et numérise en A3, ce format étant accessible via deux bacs papier séparés, chacun d’une contenance de 400 feuilles. Le DCP-6690CW dispose d’un écran LCD tactile large de 10,7 cm pour accéder aux fonctions disponibles dont la retouche photo directement sur le périphérique sans passer par l’ordinateur et la visualisation des documents avant l’impression. Côté connectique, un port USB et à un lecteur multicartes facilitent l’impression directe de document. Un module Wi-Fi autorise quant à lui le partage simultané du DCP-6690CW par dix utilisateurs. L’installation du matériel est gérée par le logiciel Secure Easy Setup, qui assure également la sécurisation des impressions envoyées. Prix public conseillé : 299 euros HT
Autre innovation, le MFC-6490CW, premier 4 en 1 jet d’encre A3 du marché. Ce MFP présente les caractéristiques principales du DCP-6690CW et sait en plus télécopier pour le même tarif. Une résolution de 6 000 dpi combinée à des gouttelettes d’encre d’une taille de 1,5 picolitre délivre une impression de qualité professionnelle avec des impressions photo qui se font sans marge même en A3. Sur ces nouveaux modèles Brother, la maîtrise des coûts d’impression est optimisée par 4 cartouches d’encre séparées haute capacité, avec une autonomie de 900 pages en monochrome et 750 pages en couleur. Conformes aux normes Energy Star et Blue Angel, ces multifonctions jet d’encre A3 consomment peu d’électricité et ont un faible niveau sonore.