Pitney Bowes soigne ses collaborateurs

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Aux États-Unis, Pitney Bowes réalise des actions de prévention auprès de ses employés et en développant sa propre « Culture of Health », principalement basée sur la responsabilisation et la sensibilisation de ses collaborateurs. Pitney Bowes mise notamment sur des outils et des actions de prévention. A travers de sites médicaux implantés dans huit localités et dans lesquels travaillent médecins et infirmières ; ou encore grâce aux médicaments donnés gratuitement aux employés souffrant de maladies chroniques tels l’asthme, le diabète ou l’hypertension. Le spécialiste de la gestion du courrier ne cherche pas pour autant à remplacer les médecins, mais plutôt à travailler avec eux. Ainsi, un employé peut effectuer une prise de sang au dispensaire de son entreprise qui enverra ensuite directement les résultats à son médecin traitant. La Direction cherche aussi à motiver ses collaborateurs en les responsabilisant avec le concept « Health Care University » qui développe des programmes de sensibilisation. Tout collaborateur qui s’engage à poursuivre les « objectifs santé » proposés par la maison, peut alors bénéficier d’un crédit, pouvant s’élever jusqu’à 225 dollars, à utiliser sur la prime d’assurance maladie de l’année suivante.
Lors de diagnostics menés par le personnel médical de l’entreprise, des médicaments de base sont à disposition des employés, qui n’ont alors plus à quitter le travail pour en acheter. Ceux souffrant de maladies chroniques sont invités à mieux gérer leurs maladies sur le long terme grâce aux traitements qui leur sont offerts gratuitement ou à des coûts moindres.
Face au système de santé américain, cette culture d’entreprise particulière a pour but de générer une baisse des coûts de la santé, notamment grâce à une baisse du taux d’absentéisme lié aux problèmes de santé. Brent Pawlecki, médecin-chef chez Pitney Bowes en est convaincu : « un salarié en bonne santé, c’est 30% de moins sur les coûts sanitaires sur 20 ans ».

HP veut fédérer ses revendeurs autour du SPS Pack

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Le Smart Printing Services Pack est la nouvelle offre que HP propose à ses revendeurs. Ce pack clé en main repose sur la vente de consommables et de maintenance de solutions d’impression à travers un seul et même contrat. « Cette offre, aussi simple qu’un forfait téléphonique, s’adresse à tous les revendeurs informatiques qui souhaitent accompagner les PME dans l’optimisation de leurs coûts d’impression, qu’ils vendent 1, 10 ou bien 100 contrats à l’année, il n’y a aucune restriction», souligne Nicolas Aubert, directeur commercial impression professionnelle HP.
Le SPS Pack s’adresse aux entreprises dont le parc d’impression est compris entre 1 et 50 imprimantes et copieurs environ. A travers ce contrat d’une durée de 36, 48 ou 60 mois, le client accède à une hotline dédiée, un site internet permettant un suivi en temps réel du contrat, une maintenance sur site et la livraison à la demande des consommables HP et des kits de maintenance.
En s’associant au grossiste Actebis, HP entend toucher quelques 10 000 revendeurs informatiques en faisant valoir des marges attractives sans aucun investissement additionnel pour le revendeur : « HP met à disposition son infrastructure (Hotline, pièces détachées, consommables, reporting…) pour permettre au revendeur de se concentrer sur la relation commerciale et la proximité avec ses clients », explique Philippe Malavaud, Responsable du Développement du Canal Valeur chez HP IPG.
La vente du contrat complète la vente d’imprimante en captant l’intégralité de la marge sur les services et les consommables, plus rémunératrice que le matériel seul. Mieux, la commission du SPS Pack est calculée sur toute la durée du contrat et versée en totalité dès sa signature. Si le succès est au rendez-vous, HP pourrait bien conforter son modèle de coût à la page en assurant des prix stables pendant la durée du contrat, un paiement à la consommation réelle - via la facturation HP Level Pay, le client ne paye que ce qu’il consomme - et sans engagement de volume minimal imposé.

Xerox : un MFP A4 qui a la couleur de l’A3

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Vitesse d’impression allant jusqu’à 30 ppm en couleur et 35 ppm en noir et blanc, temps de sortie de la première page de 16 secondes, résolution d’impression de 2400 x 600 ppp, capacité papier allant jusqu’à 1 600 feuilles, module de finition permettant d’assembler et d’agrafer jusqu’à 30 pages : « le nouveau WorkCentre 6400 est le premier multifonction A4 de Xerox bénéficiant des mêmes avantages qu’un multifonction A3 en termes de productivité, de souplesse d’utilisation et d’accès aux réseaux », explique Stéphane Matyas, Directeur Marketing Xerox Office France. « Grâce à l’intégration du dernier contrôleur Xerox, le WorkCentre 6400 dresse un pont entre les équipements bureautiques et les solutions départementales ». Un module recto verso et un écran tactile complètent l’équipement de ce nouveau modèle. En termes de productivité, le WorkCentre 6400 sait copier, numériser ou télécopier tout en imprimant simultanément. Il est également capable de détecter et de suspendre les travaux d’impression en attente de nouvelles ressources, et d’imprimer d’autres documents. La fonction de numérisation au format PDF texte et image (OCR intégré) est disponible ainsi que toute une panoplie d’outils liés à la sécurité et à la confidentialité des documents. Enfin, le WorkCentre 6400 (3 799 euros HT) peut tirer parti de la technologie Extensible Interface Platform, pour le développement d’applications personnalisées.