Le « Ctrl+P » de Samsung entre dans sa troisième phase

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Le constructeur coréen allume le troisième étage de sa campagne marketing « Ctrl+P ». Un lancement simultané en France, en Allemagne, en Italie et au Royaume-Uni et qui s’étalera sur les 4 prochains mois, à travers une campagne média et des opérations de marketing et de référencement sur internet, le tout pour un montant de 3 millions d’euros, portant ainsi à 12,2 millions d’euros le coût total de la campagne « Ctrl+P ».
Ce nouvel opus met l’accent sur la maîtrise des systèmes d’impression, des coûts, de la confidentialité et de la sécurité sans oublier le volet écologique.
« Malgré une conjoncture économique difficile, nous avons réalisé une forte progression de nos ventes en volume et de nos parts de marché en Europe », explique Neil Sawyer, Directeur Marketing de la division Impression Europe chez Samsung Electronics. « Ce succès repose sur la qualité de nos solutions d’impression professionnelles et, comme le témoigne cette nouvelle campagne marketing de plusieurs millions d’euros, de l’importance que nous portons à ce marché. Notre capacité à répondre aux besoins d’impression spécifiques de chaque secteur d’activité devrait soutenir notre croissance dans les années à venir ».
Selon une étude IDC qui analyse la structure du marché européen des appareils de reprographie A4 entre le 2e trimestre 2008 et le 2e trimestre 2009, la part de marché de Samsung (en nombre d’unités vendues) sur les imprimantes laser et multifonctions est passée de 16,1 % à 21,5 %. Samsung conforte également sa position de numéro un sur le segment des imprimantes multifonction couleur, en passant de 22,2% à 28,9% en parts de marché. Sur le segment des imprimantes laser, Samsung gagne également des parts de marché en Europe, grimpant de 13,9 % à 18,5 % sur la même période.

Canon signe une nouvelle génération de MFP

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ImageRunner Advance est le nom de la nouvelle plateforme de multifonctions présentée récemment à Barcelone par Canon. Pour le constructeur japonais, la rupture est autant technologique que stratégique : du modèle 30 ppm au système départemental et au-delà, Canon couvre tous les usages avec des solutions à la fois plus intégrées à la gestion des documents, génératrices de réduction de coûts et plus économes en énergie . Un triptyque qui s’appuie d’abord sur un nouveau couple moteur contrôleur qui surpasse en performances et en vitesse d’exécution la précédente plateforme iR. L’exploitation de composants basse consommation et de nouvelles générations de four et de toner favorise quant à elle la préservation de l’environnement et a fortiori les économies. Enfin, deux accords optimisent l’intégration des ImageRunner Advance dans les environnements bureautiques. Passé avec Adobe, le premier est le prolongement d’un partenariat remontant à 2005. Il garantit aux multifonctions Canon le support de PostScript 3, des extensions PDF (reader, PDF/A-1B, signature numérique) et de LiveCycle Right Management. Le second accord, signé avec Microsoft, autorise les MFP à communiquer avec un serveur SharePoint.

« Cette annonce fait logiquement suite aux rachats successifs d’Ados (ThereFore) et d’Iris qui ont renforcé notre expertise de la gestion de documents couvrant désormais l’input, la gestion de documents et l’output : du matériel aux applications, Canon possède une maîtrise totale des flux de documents dans l’entreprise », souligne Marc Bory, directeur marketing de Canon France. Trois gammescomposent pour l’heure la plateforme ImageRunner Advance : les C5000 series (30/35/45/51 ppm), les C7000 series (55/65 ppm) et les C9000 Pro (60 et 70 ppm).

Interrogé sur le partenariat récemment annoncé avec HP, Canon répond : « cette alliance renforce les liens qui existaient déjà entre Canon et HP. Elle permet aux deux entreprises d’offrir aux utilisateurs des solutions globales qui associent la performance des systèmes d’impression et des solutions de gestion du document de Canon, à l’expertise d’ HP dans l’intégration informatique, la gestion des périphériques et des flux d’information de l’entreprise. Avec une large gamme de logiciels et de services supportés par EDS associée à l’offre Managed Print Services de HP et aux services professionnels et de support de Canon, les entreprises ont maintenant accès à l’offre globale la plus complète du marché ».

HP veut gagner la guerre des services

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Deux conférences pour HP. L’une à Berlin et l’autre, simultanée grâce aux miracles du duplex, à Palo Alto. Printnews était en Allemagne pour couvrir l’évènement. Au menu des annonces, une alliance scellée avec Canon et la création d’une nouvelle entité dédiée à l’externalisation de services d’impression.
HP et Canon n’en sont pas à leurs premiers échanges. L’américain utilise depuis bien longtemps la technologie laser du Japonais. Pour marquer 25 ans de partenariat, ils ont tout bonnement décidé d’inclure au catalogue HP tous les copieurs et multifonctions haut volume de Canon. HP est ainsi en mesure de proposer les machines qu’il lui manquait, tablant désormais sur le portefeuille de modèles le plus large du marché. De l’imprimante à quelques dizaines d’euros au système à un million, il peut clairement espérer toucher quelques clients.
Canon accède de son côté aux plateformes de services d’intégration et de gestion de flux d’HP, notamment certains Managed Print Services qu’il n’a pas à son catalogue. Ainsi, les deux entreprises s’appuieront, entre autres, sur des produits comme Canon Meap et Canon ImageWare, HP Web JetAdmin et HP OEP (Open Extensibily Platform).
Sur le front des services, HP veut se détacher en ajoutant à une offre déjà conséquente près de 70 solutions verticales et une quinzaine d’applications basées sur les Web services. Mieux, le constructeur américain met en place la business unit MES (Managed Entreprise Solutions), une structure autonome chargée de conforter et dynamiser sa présence sur le marché de l’impression.

Parallèlement, en matière de réduction des coûts, HP inaugure sa garantie Printing Payback, très subtile version du « satisfait ou remboursé » : en cas d’échec d’un contrat sur lequel s’est engagé le constructeur, celui-ci reversera à ses futurs clients la différence entre les économies promises et celles effectivement réalisées. Au-delà de l’effet d’annonce - d’autres constructeurs suivent implicitement cette démarche sans pour autant la médiatiser - HP met en avant une expertise fondée sur les quelques 2400 clients qui ont déjà dit oui à ses services. Parmi eux, la poste suisse, passée récemment de 17000 à 6000 périphériques d’impression et de 80 à 6 modèles différents, avec ,30% d’économies à la clé. Selon des données fournies par le cabinet études Gartner, HP estime que les activités d’impression des entreprises engloutissent jusqu’à 6% de leur CA si aucune politique de rationalisation n’est mise en en place.

Bill Legacy, le vice président IPG pour la région EMEA est confiant : « les entreprises qui déploient des processus de transformation du papier vers le numérique et qui souhaitent réduire leurs coûts ont tout intérêt à faire appel à une société qui, comme la notre, possède une maîtrise IT ».

Nouvelle gamme Lexmark : tactile et communicante

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C’est classique, le mois de septembre est propice aux annonces de nouveaux matériels. Chez Lexmark, pas moins de 8 multifonctions jet d’encre composent l’offre de rentrée. Points remarquables de ces modèles Wi-Fi : une nouvelle technologie d’encre, un mode éco automatique et un écran tactile connecté à des services Web.
Vizix, c’est le nom du système de 4 cartouches séparées sur lequel repose la nouvelle technologie d’impression de Lexmark. Au-delà de l’intérêt de n’avoir à remplacer que la cartouche vide, ce que d’autres constructeurs proposent déjà, la technologie Vizix s’appuie sur une tête d’impression semi permanente garantie 3 ou 5 ans, et sur l’usage de consommable de grande capacité, le tout, pour atteindre l’honorable vitesse de 33 ppm, en noir comme en couleur, et pour faire baisser le coût d’impression en noir à un centime la page.
Trois modèles de la gamme sont équipés du myTouch, un écran tactile couleur de 10,9 cm connecté sur le Net et combiné à la technologie SmartSolutions qui gère en grande partie l’interface du multifonction. Celle-ci prend la forme d’une icône donnant accès à une série d’applications préalablement sélectionnées et téléchargées depuis le site de Lexmark. Parmi les offres en ligne du constructeur américain, on compte des solutions de flux documentaires, une copie automatisée de document et la gestion de flux RSS, des applications qui veulent simplifier les tâches courantes à travers une interface personnalisable.
Enfin, les nouveaux MFP du constructeur américain fonctionnent sans fil et exploitent un nouveau mode éco qui active automatiquement un module recto verso en impression fax ou copie. Les prix de la nouvelle gamme Lexmark s’échelonnent de 99 à 399 euros.

Prise en main : HP Officejet Pro 8500

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Après une installation simple, ce MFP se montre rapidement opérationnel et se révèle être une solution abordable de gestion de documents.

L’Officejet Pro 8500 cumule les quatre fonctions impression, copie, numérisation et télécopie. Ce type de périphérique n’a d’intérêt que si l’on exploite sa polyvalence dans le cadre d’une activité indépendante ou si l’on partage ses ressources entre les membres d’un petit groupe de travail, grâce à la présence d’une liaison sans fil et d’un connecteur Ethernet. Mais ce n’est pas là le point fort du Pro 8500. HP positionne surtout son multifonction comme un champion des économies. Cartouches haute capacité, système d’impression jet d’encre, module recto verso, fonctionnement basse consommation, gestion évoluée du papier, l’Officejet Pro 8500 serait 50 % moins gourmand en énergie que les systèmes laser équivalents et offrirait un coût à la page tout aussi intéressant. Deux points que, faute de temps, nous n’avons pas pu vérifier sur la durée mais que confirme le très sérieux institut de recherche Context Information Services sur la base de normes telles qu’Energy Star notamment. Nous avons en revanche constaté une très bonne qualité des travaux d’impression bureautique et photo. Ni la numérisation ni la copie ne posent de problème particulier et la télécopie se distingue par sa technologie numérique permettant l’envoi et la réception de fax électroniques. Coté vitesse et ergonomie, l’Officejet Pro 8500 n’est pas en reste : il atteint les 35 ppm et centralise les informations sur un écran large. Il est également livré avec des applications d’optimisation de l’impression (HP Solution Center, Photosmart Essential, Smart Web Printing, Update, Document Manager, Product Assistant)

Technologie : Jet d’encre thermique
Vitesse : 35 ppm noir et blanc ; 34 ppm couleur
Format : A4
Résolution : 1200 dpi
Numérisation : 4800 dpi
Capacité chargeur : 50 feuilles
Fonctions réseau : Serveur Jetdirect, WiFi 802.11 g, Ethernet10/100
Autonomie : 15000 pages / mois
Mémoire : 128 Mo
Emplacements mémoire : 4 CompactFlash Type I et II
Dimensions : 494 x 479 x 331 mm (avec unité recto verso installée)
Poids : 17,7 kg

Prix : 400 euros

Une laser couleur rapide

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La FS-C5400DN (1 608 € HT) est une nouvelle imprimante laser couleur A4 Kyocera Mita. Elle atteint les 35 ppm en couleur comme en monochrome et offre un temps de sortie de la 1ère page inférieur à 8 s. La gestion du papier est assurée par un bac de 500 feuilles associé à un bac polyvalent de 150 feuilles, un module recto verso et une réception papier de 500 feuilles en standard. L’ajout de bacs optionnels porte la capacité à 2 650 feuilles, avec des grammages pouvant aller jusqu’à 220 g. Le périphérique tire parti du toner sphérique ultra fin de Kyocera et d’une résolution de 9 600 dpi. La nouvelle imprimante de Kyocera est compacte. Sa conception offre de nombreux accès qui facilitent les interventions en cas d’incident papier ou de changement du consommable. La FS-C5400DN bénéficie d’une garantie standard de 2 ans sur site, Kyocera garantissant les tambours et développeurs pour une durée de 300 000 pages ou de 3 ans. Elle exploite en outre la technologie Ecosys de Kyocera qui se caractérise par des composants à longue durée de vie, issus de la technologie céramique.

eDocExpo, nouveau salon dédié à la dématérialisation

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Organisée par la FedISA (Fédération de l’ILM, du Stockage et de l’Archivage, la première édition de eDocExpo aura lieu à Bruxelles du 10 au 12 mars 2010, dans le hall de l’Autoworld, musée situé au cœur du Parc du Cinquantenaire. Pendant ces trois jours de conférences, d’expositions et d’échanges, les spécialistes internationaux et les utilisateurs conjugueront réflexion commune et partages d’expériences pour amener la dématérialisation et ses corollaires métiers vers de nouveaux standards. 60 exposants et 4 000 visiteurs sont attendus.
eDocExpo veut mettre en perspective les avancées des différents pays et favoriser l’échange des informations pour créer une dynamique internationale commune. Les principaux thèmes abordés lors des différentes conférences et débats organisés lors du salon seront :
• La CIE (Carte d’Identité Electronique) et l’ECC (European Citizen Card).
• L’évolution des différents services de confiance tels que la signature électronique, l’horodatage, les tiers archiveurs, l’autorité de gestion de preuve, la dématérialisation des factures, des bulletins de paye ou des appels d’offre.
• Identification/Authentification et continuité de service.
• Impact de la dématérialisation sur l’environnement.
• Confrontation des méthodologies utilisées, mise en place de politique, évolution de la législation dans les différents pays.
• Principe de normalisation et de certification appliqué à la signature électronique, à l’horodatage et au Système d’Archivage Electronique (SAE).
Informations : www.fedisa-international.com.

PDF Transformer 3.0 Pro

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Les Acrobat like ont le vent en poupe. ABBYY, fournisseur de logiciels de reconnaissance de documents, de capture des données et de linguistique, annonce la sortie de PDF Transformer 3.0, la nouvelle version de son outil de génération et de gestion de PDF. L’editeur utilise ici sa technologie de reconnaissance de document ADRT pour reprendre la structure logique, le flux textuel et une mise en forme cohérente des documents lors d’une conversion en PDF même sur plusieurs pages : PDF Transformer 3.0 reproduit précisément les attributs de formatage natifs de Microsoft Office comme l’en-tête, le bas de page, la numérotation des pages, les légendes des images ou encore les polices et leur style. La nouvelle version se montre également plus flexible pour créer et modifier des documents PDF en fonctions des usages. Elle offre aussi des fonctions avancées pour protéger les fichiers PDF édités et archivés comme la possibilité de supprimer des informations sensibles, l’ajout de mentions spéciales et de la signature Bates, la compression des documents PDF et leur sauvegarde au format PDF/A pour l’archivage à long terme. Des fonctions de sécurisation des documents sont présentes mais il lui manque des fonctions collaboratives et un gestionnaire de formulaires. Prix de l’application : 69 € TTC.

Kyocera Mita lance un nouveau programme partenaire

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Comme tous les constructeurs, Kyocera Mita recherche des gisements de croissance et, comme beaucoup d’entre eux, le fabricant japonais compte sur son réseau de distribution. Il a ainsi conçu le nouveau programme Kyo Xpert à travers lequel il propose à ses distributeurs une offre d’audit de parc en marque blanche, grâce à l’appui d’un consultant Kyocera chargé de faire une étude de l’ensemble des systèmes d’impression en place chez leurs clients. L’objectif étant d’identifier les potentiels d’économie, d’optimisation et d’amélioration de la productivité. A la suite de ces audits, Kyocera proposera à ses partenaires des outils de gestion de parc capables de mesurer chez les clients l’efficacité des solutions mises en place, et d’optimiser la distribution des consommables et la résolution des incidents techniques. Essentiellement destiné au marché des PME, Kyo Xpert s’échelonne sur 5 niveaux de certification. Le lancement de ce nouveau programme a été l’occasion d’une refonte de l’Extranet dédié aux partenaires Kyocera et dont la nouvelle version sera mise en ligne à la fin du mois. Selon le niveau de partenariat, ce nouvel espace concentrera des informations commerciales, marketing et techniques habituelles, et des outils de formation en ligne. Kyocera Mita a également profité de ce lancement pour revoir son organisation commerciale en fusionnant ses deux équipes réseaux IT et réseaux bureautique en en une seule et même entité.

Pitney Bowes soigne ses collaborateurs

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Aux États-Unis, Pitney Bowes réalise des actions de prévention auprès de ses employés et en développant sa propre « Culture of Health », principalement basée sur la responsabilisation et la sensibilisation de ses collaborateurs. Pitney Bowes mise notamment sur des outils et des actions de prévention. A travers de sites médicaux implantés dans huit localités et dans lesquels travaillent médecins et infirmières ; ou encore grâce aux médicaments donnés gratuitement aux employés souffrant de maladies chroniques tels l’asthme, le diabète ou l’hypertension. Le spécialiste de la gestion du courrier ne cherche pas pour autant à remplacer les médecins, mais plutôt à travailler avec eux. Ainsi, un employé peut effectuer une prise de sang au dispensaire de son entreprise qui enverra ensuite directement les résultats à son médecin traitant. La Direction cherche aussi à motiver ses collaborateurs en les responsabilisant avec le concept « Health Care University » qui développe des programmes de sensibilisation. Tout collaborateur qui s’engage à poursuivre les « objectifs santé » proposés par la maison, peut alors bénéficier d’un crédit, pouvant s’élever jusqu’à 225 dollars, à utiliser sur la prime d’assurance maladie de l’année suivante.
Lors de diagnostics menés par le personnel médical de l’entreprise, des médicaments de base sont à disposition des employés, qui n’ont alors plus à quitter le travail pour en acheter. Ceux souffrant de maladies chroniques sont invités à mieux gérer leurs maladies sur le long terme grâce aux traitements qui leur sont offerts gratuitement ou à des coûts moindres.
Face au système de santé américain, cette culture d’entreprise particulière a pour but de générer une baisse des coûts de la santé, notamment grâce à une baisse du taux d’absentéisme lié aux problèmes de santé. Brent Pawlecki, médecin-chef chez Pitney Bowes en est convaincu : « un salarié en bonne santé, c’est 30% de moins sur les coûts sanitaires sur 20 ans ».

HP veut fédérer ses revendeurs autour du SPS Pack

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Le Smart Printing Services Pack est la nouvelle offre que HP propose à ses revendeurs. Ce pack clé en main repose sur la vente de consommables et de maintenance de solutions d’impression à travers un seul et même contrat. « Cette offre, aussi simple qu’un forfait téléphonique, s’adresse à tous les revendeurs informatiques qui souhaitent accompagner les PME dans l’optimisation de leurs coûts d’impression, qu’ils vendent 1, 10 ou bien 100 contrats à l’année, il n’y a aucune restriction», souligne Nicolas Aubert, directeur commercial impression professionnelle HP.
Le SPS Pack s’adresse aux entreprises dont le parc d’impression est compris entre 1 et 50 imprimantes et copieurs environ. A travers ce contrat d’une durée de 36, 48 ou 60 mois, le client accède à une hotline dédiée, un site internet permettant un suivi en temps réel du contrat, une maintenance sur site et la livraison à la demande des consommables HP et des kits de maintenance.
En s’associant au grossiste Actebis, HP entend toucher quelques 10 000 revendeurs informatiques en faisant valoir des marges attractives sans aucun investissement additionnel pour le revendeur : « HP met à disposition son infrastructure (Hotline, pièces détachées, consommables, reporting…) pour permettre au revendeur de se concentrer sur la relation commerciale et la proximité avec ses clients », explique Philippe Malavaud, Responsable du Développement du Canal Valeur chez HP IPG.
La vente du contrat complète la vente d’imprimante en captant l’intégralité de la marge sur les services et les consommables, plus rémunératrice que le matériel seul. Mieux, la commission du SPS Pack est calculée sur toute la durée du contrat et versée en totalité dès sa signature. Si le succès est au rendez-vous, HP pourrait bien conforter son modèle de coût à la page en assurant des prix stables pendant la durée du contrat, un paiement à la consommation réelle - via la facturation HP Level Pay, le client ne paye que ce qu’il consomme - et sans engagement de volume minimal imposé.

Xerox : un MFP A4 qui a la couleur de l’A3

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Vitesse d’impression allant jusqu’à 30 ppm en couleur et 35 ppm en noir et blanc, temps de sortie de la première page de 16 secondes, résolution d’impression de 2400 x 600 ppp, capacité papier allant jusqu’à 1 600 feuilles, module de finition permettant d’assembler et d’agrafer jusqu’à 30 pages : « le nouveau WorkCentre 6400 est le premier multifonction A4 de Xerox bénéficiant des mêmes avantages qu’un multifonction A3 en termes de productivité, de souplesse d’utilisation et d’accès aux réseaux », explique Stéphane Matyas, Directeur Marketing Xerox Office France. « Grâce à l’intégration du dernier contrôleur Xerox, le WorkCentre 6400 dresse un pont entre les équipements bureautiques et les solutions départementales ». Un module recto verso et un écran tactile complètent l’équipement de ce nouveau modèle. En termes de productivité, le WorkCentre 6400 sait copier, numériser ou télécopier tout en imprimant simultanément. Il est également capable de détecter et de suspendre les travaux d’impression en attente de nouvelles ressources, et d’imprimer d’autres documents. La fonction de numérisation au format PDF texte et image (OCR intégré) est disponible ainsi que toute une panoplie d’outils liés à la sécurité et à la confidentialité des documents. Enfin, le WorkCentre 6400 (3 799 euros HT) peut tirer parti de la technologie Extensible Interface Platform, pour le développement d’applications personnalisées.

Des TASKalfa plus robustes

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Les multifonctions TASKalfa 620 et 820 remplacent les modèles KM-6030 et KM-8030 de Kyocera Mita. Le constructeur japonais profite de cet échange pour soigner la robustesse de ses machines en y incluant un toner capable d’imprimer 55 000 pages avant d’être remplacé, et, surtout, en poussant leur usage jusqu’à 500 000 pages sans nécessiter d’entretien. Une fois arrivé à ce volume de production, il faudra passer par le kit de maintenance fourni par Kyocera pour redonner une seconde jeunesse au MFP. Kyocera Mita a travaillé sur la conception de ses tambours, notamment en recourant à de la céramique, pour diminuer les interventions.
Destinés aux grands groupes de travail et services départementaux des entreprises, les nouveaux multifonctions monochromes TASKalfa 620 (16202 euros HT) et 820 (20419 euros HT) délivrent respectivement des vitesses de 62 et 82 ppm. Ils disposent d’une autonomie papier en standard de 4 100 feuilles pouvant être portée à 8 100 feuilles grâce à l’ajout d’un magasin papier latéral de haute capacité. Côté archivage, la vitesse de numérisation atteint 110 ipm grâce à un chargeur de documents d’une capacité de 260 feuilles, et, pour l’ergonomie, la facilité d’accès à la machine a été privilégié (poignées à ouverture facile, panneau de commande et chargeur orientables).

Un centre européen Xerox des technologies d’impression en continu

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Le CIC, Centre d’Innovation des technologies en Continu, de Xerox, a été inauguré à Villepinte près de Paris. Le CIC constitue le tout premier pole d’impression en continu de Xerox destiné à ses clients et au développement de leurs nouvelles applications.
Des experts Xerox y travailleront, en collaboration avec les clients du constructeur, à la conception, aux tests et à la présentation de nouvelles applications. Xerox mise sur ce centre pour générer davantage de revenus dans le secteur de l’impression en continu. Le CIC met également en avant les solutions de finitions de partenaires Xerox parmi lesquels on compte Hunkeler, Kern, Lasermax, Pitney Bowes, GMC, Solimar et CMI. Dédiées au marché de l’impression transactionnelle et de l’édition, ces solutions permettent à Xerox d'étoffer ses offres à un niveau européen.
Pour MBA, un des clients britanique de Xerox qui a investi dans quatre systèmes d’impression couleur en continu Xerox 490 pour ses activités de marketing direct, « l’impression numérique couleur en continu n’est pas une nouveauté. En revanche, ce qui est nouveau, c’est la volonté réelle des clients à l’utiliser».
« Le marché du livre numérique représente une véritable opportunité de croissance. Les éditeurs reconnaissent que cette innovation leur permet de réduire leurs coûts et d’augmenter le nombre de livres publiés », estime de son côté Esben Mols Kabell, CEO de Scandinavian Book, qui a récemment investi dans deux systèmes Xerox 650.

Les scanners de microfilms ScanPro 2000 disponibles en région EMEA

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Eastman Kodak Company et e-ImageData Corporation ont annoncé un accord exclusif de vente du scanner de microfilms ScanPro 2000 (hors États-Unis, Canada et Australie). Ce scanner compact remplace le ScanPro 1000. En plus des caractéristiques du modèle précédent, le ScanPro 2000 offrira une résolution optique supérieure, un zoom plus rapide, un contrôleur de film numérique de précision intégré et la prise en charge d'un écran tactile. Le ScanPro 2000 permet d'afficher, d'imprimer et de numériser tous types de microformes vers un PC (microfiches, films en rouleau de 16 et 35 mm, cartes à fenêtre, microcopies opaques, etc.). Il est doté d'un zoom permettant des agrandissements de 7x à 100x et du logiciel PowerScan, qui offre notamment des fonctions de mise au point automatique, de défilement du film et de rotation d'image à 360 degrés. Les images peuvent être numérisées à 600 dpi vers une imprimante, un e-mail, une clé USB, un CD ou un disque dur. Prix public : 5 795 euros.

Ricoh se glisse dans le palmarès WME 2009

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Ricoh rejoint HP, Pitney Bowes et Xerox dans le classement 2009 des entreprises les plus éthiques établi par Ethisphere Magazine (2009 World’s Most Ethical Companies), un support américain reconnu dans le domaine du CSR (Corporate Social Responsability), notamment pour l’édition de son référentiel des entreprises les plus citoyennes dans le monde. Initié en 2006, l’Ethisphere Council sélectionne chaque année parmi plus de 5000 grandes entreprises, tous secteurs d’activités confondus, les 100 sociétés les plus responsables. La sélection est effectuée selon 7 critères. Les entreprises sont ainsi notées sur des paramètres sociaux et organisationnels, la façon de mener leur business en terme de leadership, le respect des différentes lois et réglementations en vigueur, ou encore les innovations conçues afin d’améliorer le quotidien. L’intégration et l’application opérationnelle de ces critères au sein de l’entreprise est considérée comme un indicateur clé de performance et de qualité du management. C’est dans ce contexte que Ricoh a été reconnue comme une entreprise dont le business est clairement défini selon une démarche éthique et responsable. D'autres acteurs sont dans le WME depuis déjà quelques années.

Services : Xerox et Ricoh en pleine mêlée

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La bataille fait rage sur le terrain de la GED. D'un côté Xerox lance ses Xerox Print Services, des services de gestion documentaire à destination des PME. De l’autre Ricoh développe ses Management Print Services afin d'optimiser la gestion des documents des entreprises. Si les deux constructeurs placent logiquement au cœur de leurs offres les notions de coûts, d’optimisation et de cycle de vie du document, Xerox cible plus précisément les petites structures en s’appuyant sur les stratégies qu’il a déjà développées auprès des grands comptes. Pour Patrick Bensemhoun, Directeur Marketing de Xerox Global Services, «la baisse des coûts est le premier bénéfice qu’offre un service de gestion d’impression. Dans le climat économique actuel, les clients, quelle que soit la taille de leur entreprise, cherchent des moyens d’accroître leur productivité tout en minimisant l’impact environnemental de leurs activités».
Ricoh veut pour sa part « privilégier un environnement bureautique plus intelligent et efficace » pour tous ses clients. «Il est temps pour les entreprises de changer la façon dont elles perçoivent le document», souligne Jim Potter, Executive Vice President Operations chez Ricoh Europe. « La nécessité de mieux gérer le document ne cesse d’augmenter à mesure que le volume de l'information numérique croît. Transparence et pilotage sont donc essentiels pour que les entreprises fassent le meilleur usage de leurs technologies du document ». A suivre, le détail des ces offres.

3 Ineo chez Develop

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Les Ineo 222, 282 et 362 (respectivement 22, 28 et 36 ppm) sont 3 nouveaux multifonctions de Develop, la marque que Konica Minolta a créée pour son réseau de distribution. Ces modèles monochromes ont été logiquement conçus avec la « patte » Konica : design 360° sans fils apparents, indicateurs de l'état de fonctionnement de la machine regroupés, contrôleur vitaminé.
Des fonctions supplémentaires assurent un niveau de sécurité et de confidentialité: la certification ISO 15408 EAL3, la protection par mot de passe pour garantir le cryptage du disque dur interne ou encore le filtrage IP permettant à l'administrateur de limiter l'utilisation des Ineo à certains utilisateurs ou groupes. Si vous voulez voir de plus près les modèles du constructeur japonais, allez sur son site où a été conçue une visite à 360° d'un showroom.

Sagem faxe et dématérialise

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Sagem Communications commercialise deux solutions qui se veulent complémentaires dans la gestion globale du document en entreprise. La première, OpenLine, est un serveur de fax dont l’interopérabilité lui permet de fonctionner sans restriction d’accès et de mise en œuvre dans les configurations variées. L’un des points forts de ce serveur réside dans son système d’OCR qui autorise une indexation immédiate des destinataires, une extraction des contenus et un routage des données entre les différentes composantes du Système d’Information. OpenLine gère jusqu’à 40000 pages par jour et vaut environ 14 000 euros HT (matériel, logiciel et services).
Autre solution clé en main, OpenScribe, environ 9000 euros HT, est une GED pourvue des principales caractéristiques permettant de gérer les sources d’information de l’entreprise, de la numérisation à l’archivage avec suivi de validation.

Un bon cœur de toner

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Au mois de mars dernier, Laurent Ivanoff , PDG d’Epson France, a remis à Olivier Lebel, Directeur Général Adjoint de la Croix-Rouge française, un chèque de 120 000 euros correspondant à une année entière de collecte de cartouches d’imprimantes laser usagées auprès des entreprises et des particuliers. Le constructeur japonais s’est vu délivrer le Certificat de Partenaire Engagé pour son action en faveur de la Croix-Rouge française en 2009.
Comme beaucoup de fabricants, le groupe Seiko-Epson assure le traitement et le recyclage de ses consommables. Dans cette logique, la filiale française a créé début 2006 Mission Cœur de Toner : un dispositif qui permet aux utilisateurs d’imprimantes laser monochrome et couleur Epson de restituer gratuitement leurs cartouches de toner usagées. Au geste écologique s’ajoute la dimension humanitaire : pour chaque cartouche de toner récupérée, 1 euro est versé à la Croix-Rouge française.

Scanners et services chez HP

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Devant des flux croissants de documents, les opérations de numérisation deviennent des enjeux importants des processus de traitement de l’information. En fonction de la volumétrie, multifonctions et scanners se partagent cette tâche de numérisation. HP, qui a la particularité de vendre les deux types de matériels, alterne régulièrement l’annonce de nouveaux modèles. Point de MFP donc cette fois chez le constructeur mais une gamme de 5 scanners destinés aux PME et grandes entreprises, et conçus pour simplifier la dématérialisation. Parmi eux, le moins puissant est le Scanjet N6350. Disponible en juin, ce scanner de bureau à usage général est doté d’une connectivité réseau sécurisée pour partager les fichiers numériques. A l’opposé, le Scanjet 9000 (alimentation par feuilles) s’adresse aux entreprises réparties et informatisées nécessitant une solution de numérisation dédiée robuste. Ce scanner A3 ne sera disponible qu’en août prochain. Entre les deux, il y a les modèles recto verso Scanjet 5000 (650 € HT), Scanjet 7000 (820 € HT) et Scanjet 7000n Document Capture Workstation (disponible en août)
Conjointement, HP annonce de nouvelles solutions logicielles destinées au secteur public et de la fabrication/logistique pour améliorer le rendement, la sécurité, la gestion et la conformité. Conçues pour rationaliser les flux de travail liés aux documents, ces offres comprennent notamment une solution automatique de suppression de données qui aidera les entreprises du secteur public à respecter les procédures de conformité relatives aux informations sensibles ou confidentielles, et une solution de notification de livraison pour la fabrication qui permet aux entreprises d'automatiser les flux de travail liés aux preuves de livraison.

Des transactions sans papier

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Basware, spécialiste des solutions de purchase to Pay (opérations d’approvisionnement et de paiement), mise sur ses services Basware Connectivity pour inciter les entreprises à effectuer leurs transactions en remplaçant les documents papier par leur version électronique. Ces services viennent compléter l’offre existante de Basware et comprennent Basware Scan and Capture, un traitement de la numérisation totalement externalisé qui achemine aux acheteurs leurs factures au format électronique, Basware proposant parallèlement aux acheteurs un service d’activation fournisseur lui aussi externalisé. Basware Business Transactions est quant à lui compatible avec l’échange intégré des e-factures et des messages d’achat. Basware Supplier Portal fait également partie de ces services, et permet aux acheteurs et aux fournisseurs de gérer le téléchargement des documents relatifs aux achats et aux transactions, tels que l’envoi d’une facture en ligne.

Epson met de l’A3 dans l’A4

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L’AcuLaser M8000N d’Epson possède les dimensions d’une imprimante laser A4 classique. Mais un ingénieux système de bac rétractable lui permet d’imprimer du format A3, le tout avec une résolution de 1200 dpi et à la vitesse de 44 ppm. S’il sait se faire petit, ce système est a priori costaud, positionné par Epson comme étant l’imprimante laser monochrome la plus performante de sa gamme, capable de répondre à des exigences de production relativement lourde avec un volume de 200 000 pages par mois.
L’AcuLaser M8000N reconnait les principaux langages de description de page. Elle est équipée en standard d’interfaces Ethernet, USB 2.0 Hi-Speed et parallèle, et, en option, d’une interface Type B permettant l’installation d’une solution d’impression confidentielle telle qu’EpsonNet Authentication Print (impressions libérées par l’utilisateur avec un badge). Elle intègre également des fonctions de cryptage des données avec le support SSL, une mémoire de 128 Mo extensible à 578 Mo et un lecteur interne de Carte Compact Flash.
L’AcuLaser M8000N est déclinée en 5 modèles construits autour de différentes options et dont les prix s’échelonnent de 2 489 € à 3 869 € HT.

Papier : un kit pour une communication responsable

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Arjowiggins Graphic lance son « kit de survie pour une communication responsable », un outil pédagogique à destination des entreprises, imprimeurs, éditeurs et sociétés de communication. Face à la multiplication des labels écologiques, le papetier mise sur une explication étape par étape des enjeux environnementaux qui entourent la fabrication du papier recyclé. Son kit se veut un outil pour bien choisir le papier et évaluer l’impact environnemental des publications. Il se présente sous la forme d’un coffret contenant un guide du papier recyclé, un calendrier de l’environnement 2009 et la présentation de 4 gammes de papier Arjowiggins: Maine gloss green, Satimat green, CyclusPrint et CyclusOffset.
A l’heure où l’Ademe a publié le premier guide de l’éco-communication et où les imprimeurs développent le label Imprim’vert, ce kit s’inscrit dans une démarche transverse en matière de communication responsable. Traduit en six langues et destiné à toute l’Europe, le kit d’Arjowiggins a lui-même été entièrement éco-conçu par une agence de communication spécialisée dans l’environnement, avec des papiers recyclés, des formats et des grammages optimisés, l’utilisation d’encres végétales, et des aplats de couleur limités.

Des étiquettes opaques

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Avery a conçu des étiquettes opaques pour favoriser la réutilisation des colis et des grandes enveloppes. Selon une étude réalisée par le fabricant en janvier 2008, alors qu’un consommateur sur 2 réutilise ses colis, 50% d’entres-eux ne sont pas satisfaits des étiquettes du marché, qui laissent visibles les anciens textes ou étiquettes en transparence. Labélisées FSC, parfaitement opaques et ultra blanches, ces nouvelles étiquettes permettent de masquer entièrement les anciens textes et étiquettes. Elles sont fabriquées avec un adhésif écologique à base d’eau et ne contiennent pas de chlore élémentaire. Elles sont également recyclables avec les déchets papier et présentées dans un packaging en carton recyclé.

Neuf MFP Lexmark pour les entreprises

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Lexmark se renforce sur le segment des multifonctions monochrome A4 avec l’annonce des trois nouvelles familles X260, X360 et X460 pour les groupes de travail de petite et moyenne taille. La gamme Lexmark X460 (premier prix : 1 162 € HT) offre des vitesses allant jusqu’à 38 ppm avec un temps de sortie de 1ère page rapide (6,5 secondes) grâce à sa technologie de cuisson instantanée. Elle intègre surtout un écran tactile couleur large que l’on trouve généralement sur du matériel plus sophistiqué. Cet écran est personnalisable (icônes, raccourcis, fond d’écran) pour s’adapter à différents profils d’usage, Il est associé à la fonction « myMFP » qui permet à chaque utilisateur de sauvegarder ses paramètres personnels via une clé USB. La gamme X460 imprime et numérise en recto-verso et intègre des options évolutives (bacs papier, mémoire, disque dur, Wi-Fi, etc.). Elle s’appuie sur les solutions eSF de Lexmark pour automatiser les tâches documentaires
Les gammes X260 et X360 (à partir de 369 € H.T) sont des modèles 33 ppm en 1200 x 1200 dpi. Ceux-ci offrent la connectivité réseau en standard et l’impression recto-verso. La série X360 numérise en plus en recto-verso avec un chargeur automatique de documents de 50 feuilles. Elle dispose aussi d’un bac polyvalent de 50 feuilles pour les papiers « difficiles », et d'un port USB en façade. Les deux gammes offrent d’une capacité d’alimentation papier allant jusqu’à 850 feuilles. Tous ces nouveaux modèles exploitent des cartouches grande capacité (jusqu’à 9000 pages sur les séries X260 et X360 et jusqu’à 15000 pages sur la série X460). Elles fonctionnent en silence et bénéficient d’un mode Eco pour diminuer la consommation d’énergie.

Itesoft accompagne la gestion de fournisseurs

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L’éditeur de solutions de capture, traitement et gestion automatique de documents Itesoft intègre ses technologies dans les modules de la suite logicielle de gestion Anael d’Infor. Une fois numérisées et lues automatiquement, les factures sont contrôlées en lien avec les données de référence Anael (fournisseurs, commandes, réception) avant d’alimenter un workflow automatique d’approbation et de contrôle des factures puis de déclencher la création de la pièce comptable et sa proposition au règlement. A chaque étape de ce processus dématérialisé, l’image électronique de la facture est disponible depuis les interfaces Anael ou via un navigateur Internet. Plusieurs grandes ou moyennes entreprises ont déjà fait appel à la solution. Elles auraient réduit de 60% le coût d’une facture et diviser par 5 son temps de traitement tout en obtenant une traçabilité du processus de validation.

Au sommaire du #30

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Printnews#30 (mars 2009) est en cours de diffusion. Au sommaire de ce numéro :

Tendances
Le SNESSI place l’impression au cœur de l’économie durable
Une conférence neutre en carbone • Dématérialisation : du livre blanc au SaaS • La Laserjet : 25 ans déjà ! • Des papiers innovants • Les trois « R » de Pitney Bowes • Lire la suite...

Nouveaux produits
L'actualité de l'impression
Phaser 6128MFP : du haut de gamme couleur adapté au PME • Des MFP très sécurisés • Oxiged numérise et archive à la demande • La couleur des PDF sous contrôle • HP lance 3 MFP jet d’encre économiques • Des lasers économiques chez Kyocera Mita • Jet d’encre : une offensive Canon • Lire la suite...

Organisation
Les coûts de l’optimisation
Les technologies n’ont jamais livré un éventail aussi large de solutions. Face à l’offre, une des difficultés des entreprises est d’estimer le prix à payer pour adopter la stratégie qui lui permettra de réaliser des économies. Lire la suite...

Interview
Optimisation : le point de vue de l’expert
Spécialiste de l’audit de solutions d’impression, l’éditeur français Bluemega Technology adresse les entreprises toute taille confondue. Hubert Potier, consultant et responsable dans cette structure, répond à nos questions. Lire la suite...

La Komibox booste le MFP

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La Komibox de Konica Minolta transforme un multifonction standard en serveur d’applications. Fruit des travaux de recherche et développement de la filiale française de Konica Minolta, ce boîtier intelligent est présenté pour la première fois au SISEG2009, salon de l'environnement de travail qui se tient du 31 mars au 2 avril 2009 à Paris.
Une seule KomiIbox prend en charge plusieurs multifonctions auxquels elle se connecte facilement. L’administration et l’utilisation de ce périphérique est gérée depuis une interface Web. Les applications sont quant à elles disponibles depuis l’écran tactile des MFP et proposent des services tels que l’aide au secrétariat (prise de messages téléphoniques et de rendezvous centralisée) ; l’accès à une bibliothèque de documents centralisée pour un partage de l’information entre les collaborateurs de l’entreprise ; l’envoi de SMS (en partenariat avec Orange) ; l’impression d’itinéraires et de cartes (en partenariat avec ViaMichelin) ou encore l’accès instantané à l’actualité (en partenariat avec Les Echos).
« La Komibox a été conçue pour répondre aux besoins de structuration de la communication des PME avec des applications faciles à installer, à administrer et à utiliser. Pour la première fois, une gamme de matériels fonctionne sur un principe SaaS qui permet d’avoir des caractéristiques évolutives, c'est-à-dire non définies préalablement en usine et allant jusqu’à répondre aux attentes d’un client spécifique », explique Xavier Riehl, Directeur des Marchés et Promotion des Ventes de Konica Minolta Business Solutions France. A suivre, le prix de la Komibox n’est pas encore communiqué…

Toshiba veut des collaborateurs plus verts

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Toshiba TFIS lance une campagne de sensibilisation au développement durable à destination de ses collaborateurs. La filiale du constructeur japonais crée un site internet pour mettre en avant les actions du groupe en faveur de l’environnement. Elle s’appuie également sur une campagne d’e-mailings relayée par de l’affichage interne pour promouvoir une éco-attitude. « Nous souhaitons montrer à l’ensemble de nos collaborateurs nos engagements et nos actions en la matière au travers d’une campagne d’information qui les incitera à s’impliquer dans cette politique et à leur faire prendre conscience de leur propre impact sur l’environnement », explique Jean Igor Mailfait, directeur général délégué de Toshiba TFIS.

Des MFP très sécurisés

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Konica Minolta vient de revoir les caractéristiques techniques de ses multifonctions couleur haut de gamme business hub C552 et C652. Ces plates-formes, conçues pour gérer d’importants volumes d’impression, sont dédiées aux groupes de travail de grande taille ainsi qu’aux centres de reprographie intégrés. Au-delà des fonctionnalités de production, elles incluent des dispositifs de sécurité avancés. Notamment, la prise en charge du protocole IEEE 802.1x pour une connexion réseau, dont les réseaux IPsec; un kit de cryptage du disque dur de 250 Go compatible avec la norme ISO 15408 EAL 3 pour prévenir la fuite d’informations confidentielles ; une nouvelle génération de boîtier d’authentification biométrique par numérisation des veines du doigt ; un lecteur de cartes sans contact supportant une plus grande variété de cartes (HID, Legic, MiFare) pour un accès contrôlé aux multifonctions. En plus de nouvelles possibilités de finition, les performances des business hub C552 et C652 se voient améliorées par le contrôleur d’impression Emperon de dernière génération doté d’un processeur cadencé à 1 GHz et de 2 Go de mémoire.

Oxiged numérise et archive à la demande

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Oxiged s’était distinguée en 2007 comme étant l’une des premières solutions clé en main de numérisation et d’archivage en mode ASP dédiée aux PME. Everial, son éditeur, en sort aujourd’hui une nouvelle version et met en place l’offre Oxiged Solutions destinée aux sociétés de conseils et de services (experts comptables, assureurs, etc.). Oxiged s’articule autour des 3 services numérisation, archivage et consultation. Elle tient compte de la nouvelle norme NF Z42-013 relative à la conception et à l’exploitation des systèmes d’archivage. Disponible à partir de 185 euros par mois, le pack comprend un espace sécurisé et personnalisé de 10 Go, un portail hébergé et sécurisé accessible via Internet, l’archivage physique (boîte d’archives, conservation, recherches), une assistance téléphonique et un scanner. L’offre Oxiged Solutions (350 euros par mois et 30 euros par client) se présente quant à elle sous la forme d’un portail d’archivage et de partage de documents sécurisé entre une entreprise et ses clients.

Phaser 6128MFP : du haut de gamme couleur adapté au PME

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Xerox lance Le Phaser 6128MFP, un multifonction couleur A4 dont certaines fonctions sont généralement réservées à des matériels plus sophistiqués. Il est ainsi possible d’imprimer et de télécopier simultanément ou encore de continuer à imprimer en noir jusqu’au remplacement des cartouches de couleur. Equipé d’un processeur cadencé à 400MHz et de 338 Mo de mémoire, ce modèle imprime Jusqu’à 40 000 pages/mois à la vitesse de 12 ppm en couleur et 16 ppm en noir et blanc. Certifié Energy Star, il exploite le système single pass qui permet d’imprimer en un seul passage, et un toner EA plus respectueux de l’environnement. Son interface utilisateur centralise la numérisation en réseau et l’envoi de courriers électroniques. Les outils de gestion disponibles couvrent les besoins en sécurité et assurent un contrôle d’accès à la couleur. En outre, la solution dispose de fonctionnalités incitant à une utilisation plus citoyenne comme le recto verso ou la télécopie depuis l’ordinateur. Le multifonction Phaser 6128 MFP (599 euros HT) est disponible auprès des commerciaux, distributeurs, revendeurs et concessionnaires Xerox.

Toshiba TFIS veut réduire son empreinte écologique

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Toshiba TFIS vient de mener son bilan carbone. Il complète celui réalisé en 2007 par son site de production TEIS basé à Dieppe, et s’inscrit dans la volonté du constructeur japonais de réduire les émissions de CO2 liées à l’ensemble de ses activités. Jean-Igor Mailfait, directeur général de Toshiba TFIS, commente ce bilan : « les résultats ont permis d’identifier les axes d’amélioration et de définir les plans d’actions à mettre en œuvre à court et moyen terme pour réduire la consommation, réaliser des économies et améliorer les performances de l’entreprise. Les activités de Toshiba TFIS génèrent 2976 Teq CO2 et nous avons comme objectif de réduire nos émissions de 5 % en 2009. Les 3 postes les plus importants sont les déplacements des personnes (45%), le fret (40%) et dans une moindre mesure la consommation d’énergie et de déchets ».

La couleur des PDF sous contrôle

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Enfocus et Alwan Color Expertise annoncent la commercialisation de Alwan PDF Standardizer, une solution de standardisation et d'optimisation colorimétrique des documents PDF. En plus d’offrir un outil d'automatisation des tâches, PDF Standardizer assure la conformité à la spécification PDF/X (norme ISO 12647) et aux exigences couleurs 15930 (échange des données CMYK et PDF/X). Appliquée aux flux de production numériques d’impression à la demande, cette solution simplifie le travail des créateurs de contenu et des fournisseurs de services d’impression. PDF Standardizer assure une gestion dynamique des couleurs et une simplification des transparences pour un traitement sans erreur des PDF dans les flux de production existants et plus anciens. Alwan PDF Standardizer est disponible via les canaux de distribution d’Enfocus et d’Alwan au prix de 8000 euros.

HP lance 3 MFP jet d’encre économiques

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HP consolide sa gamme jet d’encre multifonction avec les 3 nouveaux modèles Officejet Pro 8500, Pro 8000 et 6500. Destinées aux PME, ces solutions sont présentées par le constructeur américain comme une alternative économique très intéressante. Ces imprimantes permettraient en effet de créer des documents couleur de qualité professionnelle à un coût par page inférieur de 50 % à celui des imprimantes laser concurrentes. A vitesse d’impression comparable, ces 3 modèles consommeraient également moitié moins d’énergie, HP basant ses évaluations sur la norme FDIS ISO/IEC 24734 pour comparer produits à jet d'encre et laser. Ces Officejet ont par ailleurs été classées par Buyers Laboratory Inc. dans la catégorie des produits "extrêmement fiables". Articulées autour de la technologie HP Scalable Printing, elles possèdent une fonction d'impression automatique recto verso, et sont accompagnées d’un service de récupération des cartouches ainsi que du logiciel Smart Web Printing qui facilite l’impression des pages web.
Le modèle Officejet 6500 (199 € en version WiFi) délivre des vitesses de 7 ppm en monochrome et 2 ppm en couleur, et exploite les nouvelles cartouches 920/920XL.
Les Officejet Pro 8000 (199 € en version WiFi) et 8500 (399 € en version WiFi) utilisent pour leur part les nouvelles cartouches d’encre à pigments HP 940/940XL, qui présentent des propriétés d’imperméabilité à l’eau. Conformes au label Energy Star, elles offrent des vitesses d'impression de 15 ppm en monochrome et 11 ppm en couleur.

Jet d’encre : une offensive Canon

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Le nouveau Pixma MX860 de Canon est un multifonction 4 en 1 avec connectivité Wi-Fi et Ethernet intégrée. Il abrite un moteur d’impression jet d’encre de 8,4 ipm, des fonctions de numérisation ( 2400 dpi) et de copie recto verso, un chargeur automatique de documents recto verso de 35 pages et un télécopieur super G3. Ce modèle utilise 5 réservoirs d’encre distincts et délivre une résolution de 9600 dpi à partir de projection de gouttes d’encre de 1 pl. Destiné au marché Soho, ce modèle est commercialisé 249 euros TTC. Dès ce mois de mars, Canon lance également les Pixma MX 320 (99 euros TTC) et MX 330 (129 euros TTC), deux MFP 4 en 1 reprenant les caractéristiques techniques du MX860 à ces détails près qu’ils impriment à 7,5 ipm, numérisent à 1200 dpi, exploitent 2 cartouches et possèdent uniquement une connexion USB.

Au sommaire du #29

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Printnews#29 (février 2009) est en cours de diffusion. Au sommaire de ce numéro :

Tendances
Les évolutions de la planète Print
Fujitsu entretient son canal indirect • Les conseils des pros du numérique • TallyGenicom poursuit ses activités en Europe • Konica Minolta inaugure son Institut du numérique • Lire la suite...

Nouveaux produits
L'actualité de l'impression
Des outils Xerox de communication et d’impression à la carte • Lexmark renouvelle ses gammes • Deux scanners Kodak de production • Triumph-Adler lance 4 MFP couleur • Etiqueter facile • Des lasers économiques chez Kyocera Mita • Lire la suite...

Organisation
Votre imprimante est-elle vraiment verte ?
En dépit des efforts des concepteurs de solutions d’impression, il existe encore sur le marché du matériel peu respectueux de l’environnement. PrintNews passe en revue les points principaux qui distinguent les nouvelles générations d’imprimantes et de MFP. Lire la suite...

Interview
L'étiquette : un marché stable et durable
Géraud Porteu, Directeur Marketing d’Avery France, dresse le panorama d’un secteur qui occupe rarement le devant de la scène des solutions d’impression mais qui fait preuve de constance. Lire la suite...

Des lasers économiques chez Kyocera Mita

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Les imprimantes monochromes FS-2020DN (35 ppm), FS-3920DN (40 ppm) et FS-4020DN (45 ppm) tirent parti du concept Ecosys selon lequel le seul consommable devant être changé dans une imprimante est le toner. En conséquence, le tambour et le développeur bénéficient ici d’une garantie de 300 000 pages ou de 3 ans. Kyocera Mita mise sur ce concept pour diminuer la nécessité de recycler tout en réduisant les coûts d’impression. « Le choix entre les différents modèles doit se faire en fonction de l’usage et plus particulièrement en fonction du volume d’impression, et ce afin de trouver le meilleur compromis entre le coût d’acquisition du produit et le budget consommables », souligne Catherine Soria, Chef de Produits chez Kyocera Mita France. Les FS-2020DN, FS-3920DN et FS-4020DN, disponibles respectivement aux prix de 729 € HT, 950 € HT et 1 115 € HT, bénéficient d’une bonne gestion du papier : un bac de 250 ou de 500 feuilles, un bac polyvalent de 100 feuilles et un module recto verso en standard. L’ajout de bacs papier supplémentaires, porte la capacité en entrée papier à 2 100 feuilles. Ces imprimantes disposent en standard des émulations PCL6 et PostScript3, d’un emplacement pour carte Compact Flash destinée au stockage de polices ou de fonds de pages ainsi que d’un lecteur de clé USB qui permet l’impression directe des fichiers PDF sans passer par un PC. Sur la base de la norme ISO IEC/19752, Kyocera Mita a évalué les capacités des consommables associés à ses nouveaux produits. Ainsi, celui de la FS-2020DN offrirait un coût de 0,0068 € la page pour une capacité de 12 000 pages, celui de la FS-3920DN un coût de 0,0056 € la page pour une capacité de 15 000 pages, et enfin, celui de la FS-4020DN offrirait un coût de 0,0044 € la page pour une capacité de 20 000 pages.

Des outils Xerox de communication et d’impression à la carte

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Special Events est une offre personnalisée de services de production documentaire que Xerox met à disposition des entreprises. Special Events se décline en deux versions distinctes.
L’une est dédiée aux événements spéciaux (salons, manifestations itinérantes congrès…), comprenant la location courte durée de solutions d’impression et la mise à disposition sur site d’une équipe de techniciens qualifiés Xerox. Ces derniers assurent, selon les attentes de l’entreprise, la production documentaire et/ou la formation des collaborateurs aux équipements et aux méthodes de production.
L’autre est conçue pour répondre aux besoins ponctuels des entreprises : déménagements, activité saisonnière, lancement de produit, création d’un département ou d’un service, période de transition avant renouvellement d’équipements, période de migration vers de nouvelles technologies. Elle comprend la location courte durée de solutions d’impression, la maintenance des équipements sur site durant toute la durée de la location, ainsi qu’une gamme de services associés complémentaires.
Les contrats de location courent sur la journée, la semaine ou le mois, et prennent en charge l’installation et le retrait sur site des équipements.

Triumph-Adler lance 4 MFP couleur

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Les 4 multifonctions DCC 2725, 2730, 2740 et 2840 de Triumph-Adler impriment respectivement à la vitesse de 25, 30, 40 et 50 ppm. Ces systèmes A4 couleur exploitent un dispositif de chargement vertical du papier qui permet une impression rapide de la première page. Selon Triumph-Adler, le toner utilisé élargit la gamme colorimétrique ainsi que l’accroissement de la précision et de la qualité image. Autre caractéristique : une fonction trapping qui comble les espaces blancs entre le texte noir et le fond de couleur. En option, un chargeur de documents numérise les documents recto verso en un seul passage. Les MFP Triumph-Adler s’utilisent via un panneau de commande tactile et fonctionnent grâce à la technologie SynControl qui contrôle, centralise et optimise toutes les fonctions du système. Les 4 modèles répondent aux exigences de sécurité des données : authentification réseau, cryptage SSL, impression privée, cryptage des PDF lors de la numérisation et kits optionnels de protection des documents. Pas de prix communiqués pour ces modèles.

Deux scanners Kodak de production

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Kodak lance les i730 et i750, deux nouveaux scanners dont l’une des caractéristiques est de fournir une qualité d’image de 300 dpi sans réduire la vitesse du scanner par rapport à une numérisation à 200 dpi. Les scanners i730 (26 990 €) et i750 (34 990 €) offrent respectivement des vitesses de 90 et 115 ppm. Ils exploitent une technologie d'alimentation automatique qui réduit le tri manuel des documents, facilitant la capture de lots mixtes de documents, de photos et de feuillets détachables à des fins de traitement, d'archivage et de partage. À la vitesse nominale, les deux modèles ajoutent des fonctions de traitement d'image : numérisation recto verso, orientation automatique des pages en fonction du contenu, redressement automatique d'image, recadrage d'image, suppression des couleurs et suppression des pages blanches. Enfin, une fonction de triple détection d'alimentation multiple par ultrasons permet également aux entreprises d'éliminer les risques d'erreur de numérisation et les encombrements du flux de production.

Konica Minolta inaugure son Institut du numérique

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Konica Minolta a inauguré le 5 février dernier son Digital Imaging Square, 3ème centre de démonstration du groupe en Europe après ceux de Berlin et Londres. Cet espace de 500 m2, basé à Courbevoie, met en avant l’ensemble des technologies, produits et solutions d’impression du constructeur pour les deux secteurs office et production. Clients et visiteurs pourront ainsi découvrir et tester les capacités techniques des matériels et logiciels Konica Minolta. A l’occasion de cette inauguration, le constructeur a présenté ses derniers matériels. Notamment le nouveau business hub PRO C65hc, destiné aux imprimeurs et aux professionnels de l’image, et capable d’imprimer des tonalités chromatiques vives et claires, grâce à son toner révolutionnaire spécifiquement développé pour reproduire au plus près le gamut RVB. Des couleurs comme le vert anis ou le rose fushia ressortent telles qu’affichées sur un écran. « Plateforme d’innovation, l’Institut du numérique est l’occasion de présenter dans des conditions réelles l’ensemble des imprimantes, les systèmes d’impression multifonctions, les presses numériques et les solutions logicielles à nos forces de vente et à nos clients. Il permet, en outre, de matérialiser la cinquième dimension permettant de garantir aux entreprises de toutes tailles une maîtrise complète du cycle de vie du document numérique : de son impression à sa fusion », souligne Daniel Mathieu, directeur marketing et communication de Konica Minolta Business Solutions France.

Lexmark renouvelle ses gammes

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Pas moins de 16 imprimantes et multifonctions constituent la nouvelle offre laser monochrome de Lexmark. Ces modèles ses partagent entre les deux gammes T650 et X650 qui se positionnent sur les segments des 43,48 et 53 ppm. Outre la vitesse d’impression, Lexmark met en avant la polyvalence et la personnalisation de ses nouvelles machines. Dotée de 7 modèles A4 et A3 dont les prix s’échelonnent de 1630 à 4080 euros HT, la gamme X650 est ainsi équipée d’un large écran couleur (22,5 cm) tactile. L’affichage de cet écran, comme le fond d’écran ou les icônes, est entièrement personnalisable, chaque utilisateur pouvant sauvegarder ses paramètres personnels sur une clé USB. La plateforme de solutions embarquées eSF prend quant à elle le relais pour la gestion des flux documentaires et l’intégration des processus métiers. Le volet sécurité n’a pas été négligé avec de nouvelles fonctions avancées d’authentification, de droits d’accès, de détection des risques d’intrusion, et de nettoyage et cryptage du disque dur. Ni celui de l’environnement avec des modèles peu gourmands en énergie et équipés d’un module recto verso et de cartouches très grande capacité pouvant imprimer jusqu'à 36 000 pages.
Pour sa part, la gamme T650 regroupe 9 imprimantes (de 940 à 1160 euros HT) compactes et silencieuses. Ces modèles disposent de 4300 feuilles en alimentation et 2850 feuilles en sortie.

Etiqueter facile

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L’étiquetage n’est pas toujours une réelle partie de plaisir : format, calage, essai, gaspillage, la prise en main des produits est loin d’être instantanée. Voila de nouveaux modèles qui devraient réconcilier bien des utilisateurs avec leur matériel. Chez Brother d’abord, avec la P-touch 2430PC (107 euros TTC) qui ne nécessite aucune installation de logiciel. Cette étiqueteuse compacte fonctionne sur secteur ou avec des piles et se connecte à l’ordinateur via son câble USB. Elle exploite une fonction plug and print qui lui permet de se faire partager : chacun peut la brancher à son ordinateur, utiliser toutes les polices disponibles et imprimer ses étiquettes directement. Fourni avec la P-touch 2430PC, le logiciel P-touch Editor Lite permet de modifier le format, la couleur et la police, et d’ajouter du texte ou une photo en utilisant la capture d’écran de son ordinateur, le tout avec une fonction de prévisualisation. Cinq tailles de rubans sont disponibles à partir de 12 euros TTC.
Du côté de Dymo, la gamme LabelWriter est composée de 4 modèles thermiques dont les prix varient de 99 à 179 euros HT. Ici aussi, le concept joue sur la simplicité d’usage et la rapidité de connexion. La gamme LabelWriter donne la possibilité de choisir parmi 16 formats d’étiquettes, avec des modèles capables d’imprimer jusqu’à 55 étiquettes par minute avec une résolution d’impression de 300 ppp.

Au sommaire du #28

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Printnews#28 (janvier 2009) est en cours de diffusion. Au sommaire de ce numéro :

Tendances
Les évolutions de la planète Print
Un éco-simulateur chez Lexmark • Une alliance entre Xerox et HCL Technologies • TG ConsoService : une offre à suivre • Comprendre la RFID • Lire la suite...

Nouveaux produits
L'actualité de l'impression
Un MFP A3 très compact • TEST du Scanjet N6310 : une bonne polyvalence • Des actes authentiques infalsifiables • Kyocera Mita annonce une laser A4 monochrome 30 ppm • Sagem signe une nouvelle gamme de MFP A3 • Les nouveaux multifonctions TASKalfa • Lire la suite...

Organisation
Imprimer ses documents commerciaux
Pas de ratés pour l’impression de documents destinés à véhiculer l’image de l’entreprise ! Une tâche confiée à des spécialistes ou réalisée en interne selon la nature du document et les compétences disponibles. Lire la suite...

Tribune
Les services, clé de la nouvelle donne commerciale du marché de l’impression
Pour Dominique Daude-Lagrave, vice-président Europe du Sud de TallyGenicom, tous les acteurs de la vente d’imprimantes bureautiques font aujourd’hui le même constat : la nouveauté technologique n’étant plus guère attractive, les seuils de rentabilité étant très réduits à cause de la féroce guerre des prix, le marché de l’impression bureautique doit poursuivre sa quête de renouvellement. Lire la suite...

Une presse numérique chez Develop

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Develop, la marque que Konika Minolta fournit à son réseau de revendeurs et partenaires, complète sa gamme de presses numériques avec l’ineo+ 5501. Adaptée à des volumes mensuels élevés, l’ineo+ 5501 imprime à une vitesse de 55 ppm en couleur comme en noir et blanc. L’imprimante accepte une grande diversité de supports (jusqu’à 300g/m), traite les formats du A5 au SRA3+ et donne accès à de multiples finitions (tri, agrafage, pli, perforation, livrets, etc.). L’ineo+ 5501 exploite un contrôleur Fiery ou Creo et gère jusqu'à 4250 feuilles en entrée et 3100 feuilles en sortie. Elle assure des impressions recto verso, y compris pour les brochures et livrets, avec une précision proche de celle de l’offset.

Toshiba signe une solution de GED d’entrée de gamme

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Toshiba TEC France Imaging Systems a développé le logiciel e-Bridge Re-Rite destiné à sa gamme de multifonctions e-Studio. Il s’appuie sur une technologie d’OCR qui ne nécessite qu’une intervention minimale de l’utilisateur. Les documents numérisés peuvent être restitués sous 17 formats de fichiers différents et envoyés directement vers un disque réseau partagé, un serveur FTP ou une adresse e-mail. L’application prend en charge 29 langues et permet de classer automatiquement les documents dans des dossiers structurés. Pour faciliter sa configuration et sa maintenance, e-Bridge Re-Rite est hébergée sur un serveur, les documents convertis par OCR étant mis à la disposition de multiples utilisateurs pour le coût d’une seule licence (1300 euros HT).

Les MFP de Kyocera Mita deviennent des TASKalfa

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Désormais, tous les systèmes multifonctions A3 de Kyocera seront commercialisés sous la marque TASKalfa. Outre une refonte du design et un nouveau logo, ces MFP intégreront des innovations technologiques en termes de fiabilité, d’économie et de qualité.
« La marque TASKalfa combine deux concepts : "TASK" qui se rapporte aux tâches réalisées par le système multifonction, tandis que "alfa" désigne la priorité fondamentale de ce matériel», explique Reiko Owada, responsable produits chez Kyocera Mita Europe. « Ainsi, nous passons de l’ère du "Multi-fonctions" à l’ère du "Multi-tâches". Les produits ne sont pas uniquement élaborés pour l’intégration de différentes plateformes technologiques disponibles (copie, impression, scan et fax), mais réellement conçus en fonction des tâches à accomplir et à des pré-requis, souhaités par les acheteurs et utilisateurs ».
Kyocera promet des systèmes TASKalfa dotés d’excellentes performances, construits avec des composants à longue durée de vie et simples à utiliser. En terme de design, ils associeront le bleu nuit et l’argent. Une première génération de produits TASKalfa sera lancée le 22 janvier 2009. Elle comprendra pour commencer quatre nouveaux modèles de systèmes multifonctions A3 couleur : TASKalfa 250ci, 300ci, 400ci et 500ci, qui viendront remplacer les modèles KM-C2525E, C3232E et C4035E.

Un MFP A3 très compact

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Pour OKI Printing Solutions, son tout nouveau multifonction MC860 ne possède pas de concurrent sur le marché. Ce MFP A3 couleur est présenté comme un périphérique moins encombrant et du même prix que certains modèles A4 de performances équivalentes. « Sur le segment des PME, le MC860 est une vraie nouveauté sur le marché évolutif des multifonctions A3, et se positionne comme la solution 4 en 1 la plus compacte et la plus abordable du marché » souligne Gérard Bouhanna, directeur des opérations d’OKI Systèmes France. Le MC860 mesure environ 70 x 56 x 66 cm. Il est disponible en trois versions différenciées par une capacité papier allant de 400 à 1460 feuilles et un prix qui s’échelonne de 3390 à 3990 euros HT. Ce MFP imprime le format A3 à la vitesse de 15 ppm en couleur et 17 ppm en mono. Pour un format A4, il atteint les 26 et 34 ppm. Le MC860 est équipé d’un écran tactile de 14,5 cm, d’un module recto verso, d’un chargeur automatique pour la numérisation et de toutes les caractéristiques d’impression, de scan et de fax en réseau. En outre, il sait prendre en charge de nombreux supports et exploite les technologies OKI : impression LED monopasse, technologie multiniveaux ProQ2400 et toner Microfin Haute Définition.

TEST du Scanjet N6310 : une bonne polyvalence

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La rédaction de PrintNews a eu entre les mains le scanner de documents à plat HP Scanjet N6310, un numériseur destiné aux petites et moyennes entreprises et dont le prix avoisine les 550 euros HT. L’un des points remarquables de ce périphérique est sa polyvalence. Il sait numériser divers types de documents bureautiques, des rapports reliés aux cartes de visite en passant par les photos et les diapositives, les planches de négatifs et les supports transparents. Livré avec des pilotes ISIS et TWAIN, le N6310 se révèle rapide à rendre opérationnel. Le logiciel Iris Readiris Pro est également fourni pour l’OCR tandis que l’application HP Scanning facilite la gestion, l’organisation et le partage des documents numérisés. La prise en main du scanner se fait en grande partie depuis l’interface utilisateur. Celle-ci rassemble sur l’écran LCD des touches de fonctions directes de numérisation et de copie et permet la création de raccourcis pour des tâches courantes, comme la numérisation vers le format PDF ou vers Word. Côté performances, le N6310 atteint les 2 400 dpi en mode 48 bits couleur. Il approche les 15 ppm pour les documents recto et les 6 ipm pour les documents recto verso et, cela, pour des pages d'une complexité moyenne. Il possède en outre un chargeur automatique recto-verso de 50 feuilles et est crédité par HP d’un taux d'utilisation quotidien de 500 pages, ce que nous n’avons pas vérifié. En résumé, le Scanjet N6310 nous a séduit par son faible encombrement (50 x 40 x 17 cm) et sa facilité d’utilisation autant que par ses performances dont la plupart des petites structures pourra tirer parti.

HP imprime depuis un iPhone

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HP a développé l'application iPrint Photo qui permet d'imprimer une image via une connexion WiFi. Téléchargeable gratuitement depuis l'Apple Store, iPrint Photo établit la communication entre un iphone ou un iPod Touch et une imprimante HP connectée sur un réseau WiFi. Automatisée, l’application ne sait traiter pour le moment que le format ou 10 x 15 cm, mais elle de bonne augure pour les futurs développements entre smartphone et impression.

Des actes authentiques infalsifiables

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MTC commercialise le Toner Secure, un toner permettant une impression infalsifiable sur une feuille de papier ordinaire. Conçue par l’américain Troy Group Inc., cette encre sécurisée utilise la norme américaine SecureRx et s’associe à d’autres solutions, notamment des lettres chèques et des imprimantes dédiées, permettant de gérer, sécuriser et simplifier de bout en bout la chaine d’impression. Un composant chimique breveté a été intégré au toner, empêchant toute altération chimique du document. Une tâche rouge vive apparait si une modification chimique est tentée. Le toner s'installe dans une simple imprimante Laserjet. Pour ce qui est de la photocopie, la technologie SecureRx répond par deux parades : l'impression de couleur grise en fond laissant apparaitre le mot "copie", et l'impression en marge d'un algorithme choisi en une police extrêmement petite et impossible à copier.
MTC adresse les marchés des professions juridiques, financières, médicales et gouvernementales. Le distributeur leur propose une solution complète de coût à la page avec ou sans imprimante, à travers un contrat incluant différents services dont l'engagement de réparation en 8h pour toute la France. Exemple de coût : sur la base d'un contrat de 100 000 pages/ans sur 5 ans sur une imprimante réseau 40 ppm, il faut compter sur un peu moins de 3 ct d'euro la page, la solution incluant l'encre SecureRx, la maintenance, l'accès à la hot line, le suivi technique, un outil en ligne de gestion de parc, l'imprimante, son kit SecureRx, l'installation et le paramétrage.

Kyocera Mita annonce une laser A4 monochrome 30 ppm

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L’imprimante FS-1350DN rejoint le catalogue des imprimantes estampillées Ecosys. Cette technologie mise au point par Kyocera Mita repose sur un tambour d‘impression en silicium amorphe associé à d‘autres composants à longue durée de vie. Son intérêt est de ne faire appel qu’à un seul consommable, le toner lui-même, et à aucun système de cartouche. De fait, la technologie Ecosys a une incidence sur le recyclage et les coûts d’impression, le tambour, l’unité de développement et le four étant conçus pour la durée de vie initiale de l’imprimante… Un bon point vert qui trouve son prolongement jusque dans l’utilisation d’emballages écologiques en carton et pâte moulée recyclés. La FS-1350DN n’en est pas moins destinée à une utilisation personnelle ou partagée entre les membres d’un petit groupe de travail. Elle présente en standard une connectivité réseau, un panneau de commande LCD rétro éclairé, une gestion papier évoluée avec un mode recto verso, une résolution de 1200 dpi, un contrôleur cadencé à 500 MHz et une mémoire vive de 128 Mo. L'imprimante dispose de 4 sources de papier différentes, pour une capacité totale de 800 feuilles. La sortie papier peut réceptionner jusqu'à 250 feuilles. L'imprimante FS-1350DN dispose en standard des émulations PCL6 et PostScript3, d'un emplacement pour carte Compact Flash et d’un port USB permettant l'impression directe de fichiers PDF. La FS-1350DN est disponible au prix de 399 euros HT. Quant à son consommable, prévu pour l'impression de 7 200 pages, il coûte environ 77 euros HT.

Comprendre la RFID

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Zebra Technologies lance un guide destiné à mieux comprendre la technologie RFID. Intitulé "Think you know RFID?", le guide répond notamment à ce qu’il considère être 5 idées reçues :

- « Attendons 2009, l'année qui consacrera la RFID : la RFID est une technologie qui se développe progressivement au fil du temps. Le nombre de nouvelles applications progresse cependant chaque année et la RFID se développe sur le marché des technologies mobiles ».
- « Tout repose sur les mandats : les mandats sont certes importants, mais d'autres facteurs de développement de cette technologie existent ».
- « Cette technologie permettra d'identifier les animaux de compagnie, voire les humains à terme : si l'identification des animaux avec la RFID est déjà une réalité, l'implantation des puces RFID chez les humains n'est en aucun cas une hypothèse envisagée ».
- « La RFID aura remplacé le code à barres d'ici dix ans : la RFID sera appropriée dans certains cas, mais les codes à barres seront plus adaptés dans d'autres ».
- « Les interférences en milieu hospitalier seraient dues aux étiquettes RFID : ce sont des propos alarmistes. La RFID est une technologie fiable et sûre qui permet au personnel hospitalier de réaliser des gains de temps et d'économiser des ressources ».

Toujours selon le guide de Zebra, si la RFID est un marché porteur dans un contexte économique favorable, elle continue également à se développer lorsque l'économie ralentit, puisqu'elle s'étend à une grande diversité de secteurs, tels que la distribution, la logistique, les loisirs et la santé. " Lors de la crise des années 1990, les ventes de solutions d'identification automatique ont progressé malgré des coûts élevés car les entreprises ont rationalisé leurs objectifs", explique Christine Watts, vice-présidente du marketing de la zone EMEA chez Zebra Technologies."Il est probable que ce phénomène se reproduise, avec l'aggravation de la récession actuelle. La technologie RFID intéresse un nombre croissant d'entreprises, car il s'agit d'un investissement rentable".
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